Chapitre 45 Inachevé

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Tous ce que je peux vous dire c'est de ne pas trop vous réjouir mes stars...

..….............

Léa, 2h20

Je mordis sa lèvre inférieure et il grogna sur mes lèvres.

La chaleur se répandait de plus en plus dans mon ventre libérant de délicieux papillons.

Sa main remontant ma robe, ses lèvres sur les miennes.

Mes bras autour de sa nuque.

Mon corps sous le sien.

Sa langue mêlait à la mienne.

Beaucoup trop.

Beaucoup trop de sensation, pas assez de lui.

Continuant de l'embrasser je défaisait un par un les boutons de sa chemise avec une habilité déconcertante qui mettait moi même inconnu.

Je le sentais frémir.

Alors qu'il détacha ses lèvres des miennes il revint attaqué mon cou le parsemant de baiser humide.

Un dans le creux de ma mâchoire m'arracha un long soupir.

Mais un faible gémissement sorti sans mon autorisation quand il passa sa langue sur tout mon cou jusqu'à le creux de mon cou là où mon épaule commençait.

Il sourit sur ma peau.

Ce sourire ravageur que je l'imaginais affichait et qui accentuait mon désir.

Mon désir de lui.

Il commença une longue traîné de baiser aux quels il mêlait sa langue me laissant soupirer profondément.

À chaque fois plus.

Il passa ensuite sa langue le long de ma mâchoire.

Une traînée de frissons recouvra mon échine.

Il passa ensuite sa langue bien trop insolente sur l'avant de mon cou.

Une fois sa torture fini il releva ses yeux vers moi empoignant ma cuisse.

Ses lèvres revinrent sur les meinnes.

La chaleur du désir se propagea dans tout mon organisme brouillant tous mes pensées, mes barrières.

Je me laissais aller dans ce baiser empoignant d'une main ses cheveux et de l'autre je faisais tomber sa chemise noire au sol.

Je baladais ma main sur son torse musclé alors qu'il frémissais et grognais sous mes mais et sur mes lèvres.

Il écarta sa bouche de la mienne avant de passer sa main jusqu'à maintenant sur ma cuisse, dans mes cheveux.

-Tu es une vrai diablesse, mi corazón... susurra t'il bien trop proche de mes lèvres.

Sans plus de mots il se releva posa un baisé sur ma tempe avant de dire :

-Pas aujourd'hui, pas maintenant, tu es bien trop importante pour que je t'associe à ce jour immonde.

Frustré, le cerveau toujours embué je me contentai d'hocher la tête et de l'attirer à moi pour l'embrasser juste une autre fois.

Juste une dernière pour ce soir.

Mes lèvres sur les siennes, mon corps debout plaqué contre le sien.

C'était bizarre mais je ne lui en voulais pas.

Non, je ne pouvais que comprendre.

Sa bouche se colla à mon oreille avant qu'il ne murmure de sa voix suave et chaude:

The FallOù les histoires vivent. Découvrez maintenant