Chap5

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Pdv Larissa :

-Merde. Ralais-je encore à moitié endormie, lorsque ce putain de réveil, commença à sonner dans mes oreilles, signe que je devais me reveiller,et bouger mon cul,si je voulais vivre.

-C'est pour la bonne cause Larissa. Chuchotais-je dans l'unique but de m'encourager, alors que je me levais pour partir me doucher.

j'enroulas ma serviette, et me plaça devant le miroir, regardant mon reflet à travers le miroir, pour remarquer que mon teint avait repris de plus belles, malgrés ce pitoyable environnement, je me sentais quelque peu vivante, je décida alors,de laisser mes cheveux respirer.

-Voilà, je suis prête. Dis-je, en me regardant une dernière fois dans le miroir.

-Très bon travail Larissa. M'encouragea la gérante, alors que je regardais l'heure.

-Je vous remercie. Dis-je poliment avant de clôturer la caisse.

Il était enfin vingt heure trente, mon 1er jour de travail était supportable, pas trop de clients, je déposa le tablier et salua l'aimable gérante, pour quitter enfin mon lieu de travail direction l'hôtel,pour me reposer.

Alors que je marchais, dans les ruelles sombre, je sentais une mauvaise présence derrière mon dos, et Sans que je ne le prévoit un tissu blanc, vient s'écraser sur mes lèvres, avant que deux bras puissants vint attraper mes mains m'empêchant, d'attendeire mon couteau , tandis que l'effet du médicament m'épuisait de plus en plus, je décida de tous bonnement laisser tomber, ayant assez de débattre, fatigué de cette vie, fatigué de tous, et c'est ainsi comme une lâche que je  m'apitoya sur mon sort, pour être emporter dans un autre monde plus paisible, j'avais juste le temps d'entendre des voix lointaines.

-je t'avais dit chérie, que c'était préfèrable pour toi de coopèrer. Dit cette fameuse voix grave,avant que je ne sombre.

C'est avec des yeux lourds que je me réveilla, mon corps comme paralyser ne voulait pas coopèrer avec mon cerveau, j'ouvris difficilement les yeux pour me retrouver dans une salle ou le noir total y règnait , mes poignets ne demandaient qu'à être libèrer, de ces fichus cordes qui empêchait le sang de circuler , alors que mes chevilles vivaient la même merde , avec le peu de lumière qui pénétrais dans la pièce, je pus remarquer un semblant de matelas crasseux, pas terre, et je  remerciais mon kidnappeur de m'avoir mis assise sur une chaise, qu' allonger sur cette chose à microbe, malgrés le fait que mes oreilles  sifflaient, j'avais la possibilité d'entendre tous de même du mouvement derrière cette fichus porte, s'ensuivit un delic, avant que  la porte ne   s'ouvre sur une femme bien habillé, avec les poignet et le cou recouvert de bijoux qui valaient des millions, elle s'avanca vers moi avec un regard aussi dégouté que méprisant suivi du garde de corps que j'ai vite reconnu.

-C'est t'elle, êtes vous sûr ? Demanda t-elle avec un voix rempli de reproches envers... Envers moi ? Je crois que de toute mon existence, je n'ai jamais vu cette femme, ou est ce qu'il se peut que j'aurais tuée un membre de sa famille, de ses proches ? Je ne le  savais pas.

-oui Madame brown. Répliqua ce dernier, me regardant tous droit dans le yeux,sourie narquois aux lèvres, alors que j'avais envie de lui griffer le visage.

-bien vous pouvez disposer, et annoncez la nouvelle à mon mari. Dit-elle à l'encontre du garde, qui ce dernier s'éclipsa sans demander son reste,comme un gentille petit toutou.

- a nous deux, petite San... Sandoz. Commença t-elle en s'asseyant en face de moi, alors que mes yeux lui lançaient des éclairs en plein  face.

J'aurais  répliquer, mais un petit détail m'avait échapper, ces coyotes m'ont ballioner la bouche avec un tissu qui empestait le rat moisi.

-Sais-tu qui suis-je ? Me Demanda t-elle ,et  comme toute réponse, j'ai du bouger ma tête de gauche à droite, signe que je ne savais pas, et que ne je n'avais aucune idée de qui elle était.

-Je suis la sœur de ton  traître, de père Anton Sandoz, je me présente Chloe Brown, et tu es en russi ma belle Dit-elle avec un sourire sournois qui etiraient le coin de ses lèvres recouvert de rouge à lèvres rouges, alors que je me demandais, la raison pour laquelle elles étaient obsédées par cet couleur.

Mais C'est quoi ce bordel mon Dieu.

Her Destinity *En Correction *Where stories live. Discover now