Chap 74

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Pdv Larissa :

Je commençais à reprendre connaissance peu à peu, mais mon cerveau avait beau gueuler pour que mes yeux s'ouvrent, je faisais tous pour les fermer, refusant de revenir à la réalité, je le refusais... dans mon rêve, j'étais heureuse avec la personne que j'aime, il fallait que j'y retourne, parceque déjà parti, qu'il me manquait terriblement.

-Larissa. Dit la voix de Fiodor, ce qui me fit ouvrir les yeux immédiatement.

-PUTAIN, tu nous a foutu une de ces frousses. S'écria théo agité, comme un crabe ayant reçu de l'eau chaude en plein fesses , en me lançant un regard noir, et si c'était dans une autre situation, j'allais sûrement m'etrangler de rire, face à son visage drôlement expressif.

-Aleksandr. Murmurais-je la bouche sèche, et le corps paralyser mais les yeux grandement ouverts, et des oreilles que j'aurai aimer, pouvoir les arracher , à cause du bruit insécable de ces stupides machines.

-Oui, ce con va bien. Lâcha Fiodor, alors qu'une fois que l'information attegna mon cerveau, je me leva sur le champ oubliant que j'étais sous perfusion.

-Cette fois, personne va m'empêcher d'aller le voir, personne. Les Menaçais-je d'un ton tranchant , le regard dur, anticipant déjà la réaction des garçons, qui d'ailleurs soufflerent d'exasperation, lorsque j'arracha le fil qui m'aidait à dormir , ignorant la douleur, et à même pieds nue, habillé de cette affreuse robe de cet hôpital, je courais dans les couloirs, à la recherche de la réceptionniste pour m'aider à trouver sa chambre,alors que les gens aisément riches me regardaient courir, en pensant que j'étais sûrement une folle qui essayait de s'échapper de l'hôpital, mais je m'en foutais royalement de leur regard méprisant , mon seul but était de retrouver la personne, qui arrivait à faire chavirer mon cœur, comme arriver à me rendre folle quand il s'y le voulais.

-Bonjour, que pui- , attendez que faites vous-. S'écria la blonde assise derrière le bureau, lorsqu'elle aperçu finalement, que j'étais en robe de cette fichu hôpital.

-La chambre, d'Aleksandr Smirnov. Lâchais-je d'une traite encore essoufflé, du sprint que je venais d'effectuer .
Je devrais avoir une médaille pour ça.

-Ah... Exusez moi, mais la visite n'est autorisé qu'à sa famille, et sa chambre et sous protection par des gardes, étant donné que c'est le plus grand mafieux de notre pays. S'exclama-t-elle arrogament, de sa fichu voix aigu, qui me donna vite fais une affreuse migraine, j'avais plusieurs raison de la tuer d'une balle dans la tête , déjà que je détester les blondes, que je l'aime pas, étant donner qu'elle est aussi impolie que vulgaire, pour être une réceptionniste, d'un hôpital en plus, et une raison qui m'etrangler de déshonneur, je n'avais pas mon arme dans mon soutif, des raisons qui me bloquais, mais ça ne voulais pas dire, que je ne pourrais pas la faire regretté, son regard hautain, et son arrogance à l'aide de mes mains.

-Je suis sa femme, donc évite moi tous ce monologue et donne moi le numéro de sa chambre. Crachais-je d'un ton cinglant, en lui montrant ma main, pour lui cloitrer sa bouche de moineau, qui de plus étais, tarter d'un rouge à lèvre, en mode feu rouge, et plus elle me faisait attendre et trop parler, ainsi que me boucher les oreilles, avec sa voix de vielles sorcières, et son feu rouge sur la bouche, qui aveuglait mes yeux, plus elle testait ma patience. Ce qui n'était définitivement pas bon signe, mais vraiment pas.

-Sa femme ? S'etonna-t-elle d'un ton qui, je dangereusement percevais sarcastique, tournant un peu vers l'ironie aussi, ce qui augmentait mon envie de lui sauter dessus, pour lui crever ses yeux bleu, à la fausse cendrillon.

-Un problème. Répondis-je d'une voix menaçante , la regardant droit dans les yeux, faisant déjà le compte à rebours dans ma tête, pour lui arracher ses dents un a un .

-Madame, la chambre de votre époux, est au dérnier étage, le fond du couloir. Lâcha une voix féminine derrière mon dos, alors que je me mis sur la pointe des pieds, m'apprêtant à étrangler cette indigène blonde.

-Merci. Remercais-je, en lançant un regard noir à cette chose blonde, avant de me retourner vers la voix, de la personne derrière moi, pour tomber sur l'infirmière d'hier, qui m'offrait un large sourire compatissant.

-merci sincèrement. Dis-je en lui offrant un large sourire de reconnaissance, avant d'activer mon mood sonic boom, pour retrouver Mon époux.

-Bonjour madame Smirnov. Me saluerent en même temps, les deux gardes positionné devant la porte, après être arriver complètement essoufflée, pour avoir voulu imiter sonic, surtout en grimpant les escaliers comme si je faisait de l'escalade.

-Le patron vous attend. Antisipa un garde ettoufant un rire, alors que j'imaginais à quoi je devais ressembler.

-C'est tous ce don, j'avais besoin. S'éleva la voix d'Aleksandr, lorsque je rentris dans la chambre, alors que des larmes perlaient dans le coin de mes yeux,lorsque je le vit, la devant moi, assis comme s'il n'avait pas eu d'accident.

-Tu me refais plus jamais ça. Lui reprochais-je, en soufflant de soulagement.

-Je t'ai fais peur mon ange ? Grommela-t'il d'un rire rauque, comme je les aimes, avant d'écraser ses lèvres charnues, sur les miennes ne me laissant pas le temps de répondre.

-Qu'est-ce qu'il c'est passer. Demandais-je entre deux baiser, alors que mes mains caressaient ses cheveux en batailles, ce qui le rendait encore plus beau, plus sexy plus irrésistible qu'il l'est déjà.

-Je te voyais même les yeux fermés, Larissa tu me rend fou. Répondit le mafieux d'une voix sombre, aggripant fermement mes joues, pour approfondire ce baiser.

-Je ne vais pas te botter le cul maintenant, mais quand tu sera complètement guéris, je le ferais. Le Menaçais-je, en reniflant, et essuyant les quelques gouttes d'eau salés sur mes joues,ce n'est peut être pas beau, à voir mais j'étais au bout du gouffre.

-Non de Dieu, que J'ai hâte. Reprit-il lechant ses lèvres malicieusement, alors que j'ecrasais encore une fois mes lèvres sur le siennes, tous en les mordant sauvagement , il m'avait terriblement manquer.

-Pour que tu me pardonne, j'ai une surprise. Rigola-t'il, avant d'aggriper ma taille pour m'allonger sur son torse , alors que j'avais cette constante peur de lui faire mal.

-Et quelle est cette surprise ? Lui Demandais-je d'une petite voix innocente, en attrapant son visage en coupe dans mes mains, posant mon nez sur le sien, avant de fermer les yeux, pour profiter de sa voix.

-je me suis dit... qu'il était enfin temps, pour nous, de vivre dans notre propre villa. Avoua-t'il alors que ses mains se posèrent possesivement sur mes fesses, une nouvelle qui me fit ouvrir automatiquement les yeux, pour tomber sur ses yeux qui me fixait à dévorer mon âme.

- rien qu'à nous deux ? Rétorquais-je plus qu'heureuse, de mettre fait kidnapper par cet homme, aussi irrésistible, que dangeureux.

-Rien qu'à nous deux, à ma femme et moi, et bientôt pour nos deux princesses. S'exclama-t'il, en mordant sensuellement ma lèvre ,alors que j'imaginais déjà notre petite famille, comme dans les comptes de fée, une vie que mes parents n'ont jamais eu la chance de m'offrir.

-Je t'aime Aleksandr. Avouais-je, avant de l'embrasser langoureusement jusqu'à gémir de plaisir.

Her Destinity *En Correction *Where stories live. Discover now