Chapitre 11 : Yeah let's hope that.

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Le chapitre va être (avec du recul je ne sais plus comment le qualifier), c'est tout ce que je puis dire (donc rien en fait).

Bisous et bonne lecture <3

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Lundi 24 janvier (14h02):

"ALONZO !!! ALONZO !!!" hurla Ange dans toute la maison alors qu'il courait dans les escaliers qui menaient à la salle à manger ou travaillait le plus jeune.

"Quoi ?! Mais quoi ?! Qu'est-ce qu'il y a ? Pourquoi tu hurles dans mes oreilles comme ça ?"

L'italien était à présent devant lui, les pupilles si dilatées que l'on distinguait à peine ses iris.

"Je suis convoqué pour les 6 Nations ! Ils viennent de m'appeler !" s'exclama-t-il en secouant l'espagnol par les épaules.

"¡¿La puta madre que sí ?!"

"Oui !" acquiesça-t-il vivement sans exactement comprendre un mot de ce que le plus jeune lui disait.

"Joder, estoy tan orgulloso de ti Ángel."

"Al' tu sais très bien que je ne comprends pas un mot de ton espagnol." rit-il.

"J'ai juste dit que j'étais fier de toi..."

Ange hocha la tête, puis il sourit, heureux, et ensuite il le prit dans ses bras.

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@alongonzalez02

Feliz el que va al 6 Naciones ;)@ange_capuozzo

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Feliz el que va al 6 Naciones ;)
@ange_capuozzo

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Vendredi 27 janvier (19h21):

Alonzo attendait patiemment Ange à la sortie du Stade des Alpes. Il y faisait sombre et froid tandis que l'espagnol se balançait d'un pied sur l'autre pour tenter de se réchauffer.

D'ailleurs, il avait vraiment froid. Cela faisait 20 minutes qu'il attendait et il commençait à croire qu'il finirait congelé avant l'arrivée de son colocataire.

Cependant, lorsqu'Ange arriva quelques minutes plus tard en trottinant vers lui, l'espagnol n'eut même pas l'envie de se plaindre. Car le visage du plus âgé semblait triste et fatigué.

En effet, Grenoble avait perdu, d'un seul petit point face à Vannes. C'était frustrant et on pouvait très clairement voir les émotions négatives sur le visage d'Ange, de la déception surtout.

"Tu as bien joué." affirma pourtant Alonzo en serrant gentiment son épaule.

Certes il ne dirait jamais le contraire, mais il le pensait sincèrement.

Le rugbyman soupira tout de même, peu convaincu par sa propre performance et par les mots de l'espagnol.

"Ne dis pas ça, tu n'es pas objectif de toute façon." fit-il simplement remarquer en se dirigeant vers la voiture.

Si te vas, yo también me voy.Donde viven las historias. Descúbrelo ahora