Un amour imprévu...

57.

Selem Aleykoum !!

Moi : je vois pas tu veux dire quoi.

Marwan : ...

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Marwan : Alya dis moi sincèrement ce que tu ressens pour Zyad.

Moi : Rien. S'il te plaît arrêtes d'en parler.

Marwan : Fais comme si j'étais Leyna. *voix de fille* COUCOUUU ma vie. Alors y'a quoi avec Zyad.

Moi : *rire* vaut mieux pas qu'elle t'entende l'imiter comme ça.

Marwan : Mais vraiment.

Je connais pas la réponse moi même.

Moi : Marwan, Imrân c'est mon premier amour. Je l'ai aimé j'avais 15 ans. Il est parti sans donner de nouvelles. Pendant 2 ans j'ai pas eu de nouvelles de lui. Je l'ai revu juste parce que j'ai été prise ici. Je l'aurai jamais revu sinon. Et maintenant c'est pire qu'avant entre moi et lui. On se déteste. Imrân ça a été mon premier amour. Je connaissais pas ça avant lui. Aujourd'hui j'ai 18 ans et encore aujourd'hui je suis pas prête à être avec quelqu'un à cause de lui. Donc même si on imagine je ressentirai quelque chose pour Zyad je pourrais jamais tu sais pourquoi ? Parce que j'ai plus confiance a cause d' Imrân. C'est bon t'as ta réponse ?

Marwan : Oui. En résumé t'aime Zyad mais t'as peur.

Moi : Non. C'est pas un bon résumé ça.

Marwan : Tu te voiles la face. Alya je veux te donner un conseil. Joues pas. Tu l'aimes, il t'aime. Faites les choses bien. Passez pas par 4 chemins. Rends fière maman et papa. Fais pas n'importe quoi. Rends nous tous fière.

Moi : C'est pas moi qui met la bague hein. Si il voudrai me marier il l'aurai fait.

Marwan : Il va pas mettre la bague au doigt de son « amie ».

Moi : Comment tu sais qu'on est amis.

Marwan : Tu crois que je lui ai pas parler ? Bien sûr que si.

Moi : Il t'as dis quoi ?

Marwan : De pas te frapper et qu'il préférait que ça soit lui qui prenne que toi. Il est gentil hein. Vas le voir maintenant.

Moi : Ah donc maintenant c'est toi qui me pousse vers lui.

Marwan : Incroyable mais vrai. Bref on a assez parlé Alya. Bien évidemment tu restes ici hein. Bon je dois y aller parce que pas envie de conduire la nuit.

Moi : Hein ? Déjà ?

Marwan : Toi qui stressais que je vienne. J'ai un fils à m'occuper moi. Et une femme aussi.

Moi : Ouais j'avoue. Bon bah vas-y Marwan.

Marwan : Prends soin de toi. Je t'aime ma sœur.

Il m'a fais un câlin et il est parti. Je suis restée sur le toit et j'ai appelé Zyad.

Moi : Allô ?