Un amour imprévu...

61.

Selem Aleykoum !

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Moi : Zyad, t'es apparu dans ma vie au moment où je avais besoin. Dans les moment durs t'as été là et t'as été le seul à trouver les mots. Dans le passé j'ai fais des erreurs que je vais pas refaire aujourd'hui. Zyad je veux partager ma vie avec toi. Je veux que tu sois le père de mes enfants et je veux finir ma vie avec toi et personne d'autre. Oui.

Il me met la bague.

Zyad : Dans une semaine on monte à Paris, fixer la date du hlel, et fixer la date du mariage civil. C'est bon pour toi ? Je veux pas perdre plus de temps.

Moi : Genre tu crois je vais dire non c'est pas bon ?

Zyad : *rire* on sais jamais avec toi.

Moi : Ouais j'avoue..

Zyad : D'ailleurs je veux éclaircir un truc. Leyna, elle m'a accompagné choisit la bague et l'essayer pour toi salle folle. Tu crois je vais choisir un bague alors que je sais pas c'est quoi ton style de bague ni ta taille. Et on s'est fait un câlin parce qu'elle pleurait tellement elle était fière de toi et au passage je l'ai remercié.

Moi : Bah j'étais pas sensé savoir moi.

Zyad : Bah fais moi confiance. Heureusement qu'elle était là j'allais prendre un bague pour homme sans faire exprès.

Moi : ouais mais t'aurai réagis comment si tu voyais ton meilleur ami me prendre dans les bras.

Zyad : Bah je l'ai vu. Le pire c'est que c'est pas mon meilleur ami mais celui que je déteste le plus.

Moi : Mais Zyad je t'ai expliqué.

Zyad : Et je te crois Alya.

Il me croit direct et moi je l'ai pas cru...

Zyad : Enfin bref, il est quel heure ?

Moi : 21h30.

Zyad : Oula. Vite vas-y on y va.

Moi : Mais ça va il est tôt.

Zyad : Ouais ouais mais on y va.

Moi : Bon ok.

On est parti dans la voiture. Plus il conduisais et plus je me rendais compte qu'on est pas du tout sur le chemin de retour.

Moi : Mais on va où ?

Zyad : Bah on rentre. Pourquoi ?

Moi : C'est pas la route.

Zyad : Ouais j'ai pris un autre chemin.

Moi : Ah okk.

Il se gare devant un truc. C'est tout sauf la maison. Des autres voitures son garées mais je calcule pas c'est tout noir en plus.

Moi : Hein ?

Zyad : Bon je rigolais. Vas-y vient avance.

On rentre dans une espèce de salle. Les lumières sont éteintes. On voit rien.

D'un coup