Chapitre 22

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On est dans son lit, entrain de se faire des câlins. On ne parle pas et tout est calme. Je crois que je pourrais rester ici toute ma vie.

M:...il est quelle heure...?
S: Euh, attends...

Il se tourne, prends son tel et me regarde.

S: Dix-sept heures.
M: Attends, on a baisé pendant deux heures là ??

Il se met à rire alors je souris.
J'aime son rire, il règle tout les problèmes...

M: Je dois partir dans une heure, j'ai pas envie...
S: Pourquoi ?
M: Bah j'ai mon live...
S: Ah oui...
M: Je penserai à toi.
S: Ça j'en doute pas...

Je souris d'un aire limite pervers et lui aussi puis on éclate de rire.

M: Je t'aime Sidjil.
S: Moi aussi Maxime...

Il me sert plus fort contre lui et je me mets à rougir.

S: Mooh, tu rougis...

Il m'embrasse légèrement le cou avec amour et je ressens des papillons à mon ventre.

M: Sid, t'es parfait...

Je le sens sourire quand il embrasse mon cou. Mes mains à moi sont dans son dos, certainement remplis de griffures à cause de ce qu'on vient de faire.

Il dépose un bisous sur ma joue gauche puis s'arrête et me regarde.

S: Tu m'as fait sacrément mal aux dos quand même...
M: Bah toi tu m'as fait mal au cul, c'est pas mieux...
S: Ahah, désolée...
M: T'inquiètes...c'est un mal pour un bien...
S: Je vois ce que tu veux dire...
M: J'avais dit que t'étais un dieu.
S: Et moi j'avais dit que t'étais un ange...j'avais tords...

Il regarde derrière lui pour me faire comprendre qu'il parlait de son dos.

M: Bah désolée, c'était soit ça soit je mourrais.
S: Je rigole, c'était très sexy...

Oh bordel. Je m'y attendais pas. Oh mon dieu les papillons...

S: Hehe, tu rougis de nouveau...
M: Oui bah...c'est pas ma faute, c'est toi là...
S: Oui, justement...
M: Même après ça tu continues de me draguer.
S: Oui.
M: Je peut t'embrasser ?
S: Bien sûre.

Je pose ma main entre sa mâchoire et son cou et rapproche son visage du miens.

Quand ses lèvres touche les miennes c'est encore une autre sensation que je ressens. Je ressens de l'amour pure, de l'amour doux, de l'amour sincère... Je ne sais pas comment expliquer ça, comme si chaque mouvement qu'il faisait était un câlin.
Ses lèvres sont douces comme des nuages et ses mains sur mes hanches me donne de terrible frissons.

J'arrête de l'embrasser, à bout de souffle et les joues rouges.

S: C'était incroyable...
M: Je confirme...
S: Alala je t'aime...
M: Moi aussi...

J'embrasse rapidement sa joue puis le regarde à nouveau et je vois qu'il rougit énormément.

S: Je vais mourrir...
M: Oui un jour, ça c'est sûre...
S: Arrête de me faire peur.
M: Je rigole !

J'embrasse sa bouche deux fois, comme pour m'excuser et le regarde de nouveau.

S: De base on devait jouer à Smash Bross...
M: Bah au final on a joué au Uno...
S: T'as raison.
M: Embrasse-moi...
S: Encore ??
M: Oui, je suis addict...
S: Comme tu veux...

Il s'approche de nouveau de moi et s'arrête.

S: Le premier qui embrasse l'autre a perdu.
M: Tu sais très bien que je vais perdre...
S: Peut-être pas...
M: Il fait chaud ici...
S: C'est qu'une impression Monsieur...
M: Oh mon dieu...

Il s'approche encore de mes lèvres puis recule de nouveau.

S: Tu craque toujours pas ?

Je ne réponds rien, je n'arrive plus à parler.
Mais d'un coup une idée me viens.
Je prends ses épaules et le fait chavirer pour le plaqué contre le matelas du lit puis m'approche de nouveau de lui.

M: Alors on craque pas ?

Je vois qu'il rougit énormément ce qui me rends fière.
Je passe mes mains sur son ventre et le caresse avec amour.

S: Et puis merde...

Il prends mon visage d'un coup et m'embrasse avec envie tout en me plaquant à son tour contre le matelas.

Ma voix laisse échapper quelques sons par mégarde malgré le fait que nous venons de la faire.
Si on l'aurais pas fait avant j'aurais craqué maintenant...
Ses mains sur mon corps ne sont plus douces, elle sont insistantes. Exactement comme quand on a fait l'amour.

Une de ses mains est entrain de caresser ma nuque, mon cou et ma mâchoire et l'autre est à côté de moi, pour qu'il ne s'écrase pas contre mon corps.

Vous voyez, j'ai encore une autre sensation, à croire que chaque baisers sont différents.
Là, je ressens de l'envie, mais pas de l'envie sexuelle, pas du tout même, de l'envie amoureuse. C'est une sensation que je n'avais jamais ressenti de ma vie.
C'est de loin le baiser le plus incroyable de ma vie.

Quand il s'arrête il me regarde longuement avec ses deux mains à côté de ma tête. Ses yeux brillent d'amour et je vois des larmes apparaître dans le coin.

M: Tu pleures..?
S: Tu me fait tellement d'effet que je pleure...
M: Olala...

Je passe de nouveau mes mains dans son dos et je ferme les yeux. Je reste comme ça quelques temps avant de sentir une goutte tomber sur ma joue. J'ouvre les yeux et remarque que Sid pleure. Je ne peux pas m'empêcher de sourire.

M: Qu'est-ce que tu es beau quand tu pleures...
S: N'importe quoi, j'ai l'air faible...
M: Justement, c'est trop mignon...

Il se couche sur le lit de nouveau et regarde le plafond.

S: Je t'aime tellement, tu me sauves Maxime...
M: Moi aussi Sidjil...

On ne parle pas pendant au moins cinq minutes mais je décide de briser le silence.

M: Je dois y allez Sid...
S: D'accord...

Je m'habille, lui aussi, puis on se regarde.

S: On se revoit quand ?
M: Demain ?
S: D'accord !

Je prends sa tête et lui embrasse la joue au moins quatre fois avant de vraiment partir, avec le sourire.

Il va me manquer d'ici demain ce con.

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Alala, un chapitre remplie d'amour là. J'avais bien besoin d'en écrire un comme ça, ça m'a tellement réconforté.

Ah oui, bonne nouvelle ! Je vais encore écrire une histoire après celle-là parce que j'ai encore pleins d'idées ! Donc j'espère que vous allez aimé mes prochaines histoires <3333
(1047 mots)

Un message [Djilsi X Maxime]Où les histoires vivent. Découvrez maintenant