Gojo Satoru : L'Interdit

Chapitre 7 : Serment inviolable

La maison de Satoru Gojo à l'intérieur de l'école d'exorcisme respire la simplicité et le minimalisme. Les murs blancs et les sols en tatami créent une toile de fond épurée. Les meubles sont fonctionnels et bas, avec des lignes simples, mettant l'accent sur l'essentiel. Des touches de bois naturel apportent chaleur et sobriété à l'espace. Les fenêtres sont larges, laissant entrer la lumière naturelle et offrant une vue apaisante sur les environs de l'école. Quelques éléments décoratifs, comme des objets d'art traditionnels japonais, sont soigneusement disposés, ajoutant une touche de caractère sans compromettre la simplicité générale. C'est un sanctuaire minimaliste où l'ordre et la tranquillité se conjuguent pour créer un lieu de vie fonctionnel et apaisant.

Oui, la maison de Satoru Gojo était simple, tout le contraire de son image, il ne donnait pas d'importance sur un quantité excessive d'objets encombrants, au moins les taches ménagères devait être rapide, il faisais sans doute ça pour se concentré sur des choses plus importante, comme les missions et ses élèves.

_Tu voulais parler ?
Dis-je, en franchissant le hall, pour me retrouver dans son salon, me posant sur le seul petit canapé de la pièce.

_Oui, ici, je suis sûre qu'on est pas entendu.
Il me suivait et fléchissait les jambes devant moi.
_La déclaration d'Eichiro m'a surpris, on ne peut pas lui en vouloir, tu es douée et tu as de la prestance.

_Et donc ? Dois-je te rappelée que c'est toi qui voulait qu'on en reste là.

_je sais mais ayant été témoin de la déclaration d'Eichiro, je ne peux pas rester impassible.

_De la jalousie ? Demandais-je.

Sa main se posait sur mon genoux de manière maladroite, caressant son pouce ma peau.
_Il peut t'avouer ses sentiments et ne rien craindre, moi, je suis coincé dans mon rôle de professeur.
Il semblait un peu perdue dans ses pensées, ces dernière barrière de protection qui tombaient une à une.
_Tomoé, J'aimerais passé plus de temps avec toi. Continuait-il.

-Il se fou de moi ?...-
_Alors concrètement que veux-tu que je fasse ? Dis-je, d'un ton plus calme, en posant tendrement ma main sur la sienne.

_Faisons un serment inviolable, notre relation doit rester discrète, aucun de nous doit parler de ça à personne. Dit-il avec conviction plantant son regards dans les yeux de Tomoé.

_Si c'est juste ça que tu souhaites, d'accord.
Nos mains se liaient.

_Ce n'est pas un jeu, Tomoé. Le risque est gros.

_Si cela peut te rassurer, faisons un serment inviolable.

_Tu es sûre ?

Je hochais la tête, oui, j'étais sûre, si cela pouvait me permettre d'être à ses côtés, ça fallait le coup. On s'entaille la main, les serrants entre elle et puis on jurait de ne dévoiler à personne notre secret, celui d'entretenir une relation immorale entre un professeur et son élève, même majeurs.
Je sentais nos énergies occulte, signe, que le pacte était conclue. J'étais rassurer.

_Approche, dit-il tendrement.

Je m'exécutais et il déposait un chaste baiser sur mes lèvres. Je pouvais enfin l'avoir que pour moi. Je souriais contre ses douces lèvres, ravie de la situation, explosant de bonheur.

Je posais ses mains sur ses joues.
_Je suis contente.

_Et moi j'arrive toujours pas à croire, ce que je suis en train de faire.

_Chhh.
Je l'embrassais. C'est vrai que c'était interdit mais c'était plus excitant.

La seconde qui suivait, il avait accentuait se baiser, nos langues dansaient ensemble et il se posait le canapé m'emportant dans sa chute, je me retrouvais à califourchon sur lui.
Ma main passait de sa joue, à son bandeau, le retirant pour profiter de la magnifique vue de ses yeux bleue.

_Pourquoi cache tu ces magnifiques yeux ?
Demandais-je tout en continuant de lui donner des tendres baisers.

_Pour que mon cerveau ne grille pas, ça m'épuise vachement.
L'exorciste posait mes mains sur mes hanches.

_C'est l'inconvénient d'être l'exorciste le plus fort du monde ?

_On peut dire ça. Soufflait-il entre deux contact de nos de lèvres.

Nos bouches ne pouvaient se déliés, elles étaient attirer naturellement l'une de l'autre, on s'embrassait pendant de longues minutes.
Nos corps se collant entre eux, m'approchant de plus en plus de lui.

_Fait moi l'amour. Dis-je sérieusement, remontant ses mains sur ma poitrine.

_C'est direct comme demande.

_Je sais mais, je ne peux pas m'en empêcher.

_Et comment veux-tu que je te fasse l'amour ? Tu as des préférence ? Je pourrais...Ils posaient sa main sur ma poitrine, la malaxant doucement. Faire ça de manière douce ou... Elle remontait le long de mon cou, la serrant légèrement, sa bouche s'approchant de mon oreille. Faire ça de manière plus brutale.

_J'ai le droit de choisir ?
Mon corps frissonnait à l'entente de ses proposition salace.
_Brutale, au point que même dans quelques années, je m'en souvienne.

Mon professeur me mordillait le lobe d'oreille.
_A une condition, toi et moi, samedi, on se fait un vrai petit rencard.

_Jaccepte. Dis-je le déviant du regard.