Laisse toi être miens (Denki x OCboy)

Chapitre 12: Notre destin

hehehehehehehe bonne lectuuuuuuuuure

(Pour rappel, le dernier truc qui s'est passe dans le chap 11, c'est Aaron qui se fait tirer dessus.)

PDV Denki:

Ma mère ne rentrait que deux fois par semaine. On ne savait jamais quels jours. Son boulot de héroïne lui prenait beaucoup de temps. C'est pourquoi, une fois tous les six mois, elle prenait quelques jours de congés, en dehors des vacances qui lui étaient accorés (c'est à dire, celles de noël et une semaine en été). Elle était donc rentrée hier.

- Maman!

- Oui Denki?

- Mina organise une soirée vendredi soir pour oublier ce qui s'est passé samedi et remonter le moral à Eijiro. Je peux y aller.

- Encore ? Il y a de l'alcool ?

- Pour oublier c'est mieux. Mais promis je ferais gaffe !

- Bon d'accord.

Je reçus un appel.

Katsuki.

PDV Aaron: (le dernier avant pwaaaaaaa)

Je hurlai de douleur, insultant John et sa famille sur les vingt dernières générations de tous les noms. La balle s'était logé dans mon épaule gauche, et ça fait un mal de pute. Personne ne disait rien, il me regardaient comme si de rien n'était, car en soit, c'était un quotidien pour eux.

- Tatouage sur la mauvaise épaule, Aaron. On avait dit le bras gauche, GAUCHE! Et tu te l'ai tatoué sur le droit. Et le micro, il fonctionne encore, mais on sait ce que tu as dit à Katsuki. Tu sais ce qu'il risque, non? Alors pourquoi lui balancer des infos. Évite de faire comme ton frère, on se trompera pas, cette fois-ci. On butera ton cousin. Rappelle-toi que ce n'étais pas Arthur, qu'on voulait buter, mais toi.

- IL S'EST SUICIDÉ ! VOUS L'AVEZ PAS BUTER !

- Oh trésor, je te l'a déjà dit, non? se moqua John. Mon alter, c'est la téléportation, mais aussi la télékinésie. Lui faire attraper un flingue et le faire se tirer dessus, c'est très simple pour moi.

Je le fixait des yeux, avec une envie certaine de le buter. Mais je m'étais à peine levé qu'il tira à nouveau, dans ma jambe. Mes hurlements redoublèrent.

- Reste assis, p'tit con. Je t'ai pas demandé de te lever.

- Va te faire fouttre !

- Je te l'ai déjà dit samedi, Aaron! Une troisième fois à dire ça, et c'est toi que je vais fouttre compris.

- GAY DE MES DEUX ! hurlais-je.

Une troisième balle fut tiré du pistolet, et je sentis une énorme douleur au niveau de la poitrine droite. J'eus tellement mal que je ne dis plus rien.

- C'est pas toi qui a dit à ton cousin que tu l'étais aussi ? Écoute moi bien, insulte moi encore, tente encore de nous trahir, et tu passe à la chaise une deuxième fois. Plus, ton cousin crève. Si ça suffit pas, je buterais ta sœur. Je buterais tous tes êtres chers jusqu'à ce que tu comprennes que maintenant, t'as plus le choix, t'es la pute de l'Aikira mon vieux, et tu le resteras, comme tous les connards qui ont essayé de nous voler de la drogue. Compris?

Je ne dis rien. Je me concentrais sur ma respiration et me regardais me vider de mon sang. J'avais toujours eu des idées noires, mais à cet instant, je ne voulais absolument pas mourir.

- Bien, maintenant, passons au plan...

Pendant trois heures, il a expliqué le plan. Pendant trois heures, je me suis vidé de mon sang. Pendant trois heures, j'ai fermé ma gueule. Pendant trois heures, je l'ai écouté parler. Ma chaise baignait dans une flaque de sang. Léhan m'avait demandé si ça allait, si j'allais tenir. J'ai rigolé. J'étais sortit de la salle dans les derniers, je ne pouvais pas aller plus vite que ce que je faisais. J'avais marché un peu, dans les rues, jusqu'à tomber sur un parc. J'allais pour m'asseoir sur un banc le temps d'une pause, mais je ratai le banc et finit par terre.