Chapitre 51

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10 minutes plus tard, il a toujours la même position, je crois qu'il a débloqué là, mais c'est pas trop mon problème, je suis à fond dans ma série. Qu'il crève si cela l'enchante, cela me serai égale.

Les garçons font leurs entrées bruyantes. Ils vont vers leur grand frère et sautent sur lui comme des gamins qui viennent de voir leur papa parti en guerre lol.

Ils sont tout beau ces trois là, fraternité trop mignonne.

Wassim : maintenant que tu es là, je me sens tellement riche.

Sofiane : et moi tellement cool avec mon nouveau téléphone.

Sahbi : bande d'enfoirés.

Ils rigolent tout les deux en montant dans leur chambre. Sahbi tourne sa tête vers moi, m'appuie le sein et se lève rapidement en rigolant, puis monte.

Moi : imbécile.

Je passe la langue sur mes dents pour éviter de rire devant son geste complètement enfantin.

Mon téléphone sonne, c'est Eddy qui m'appelle.

Conversation avec Eddy

Allô ma belle

Oui

Qu'est-ce que tu fais ce soir ?

Bah rien, je suis chez moi.

Ton beau-frère est là ?

(Rire) oui, il est là.

Ok, je rapplique

Ok, tout à l'heure.

Je dépose mon téléphone sur la table avec un sourire, lorsque je me retourne je vois Sahbi qui me regarde depuis là haut.

Sahbi : c'était qui ?

Moi : mon mec, il va passer ici.

Sahbi : tu te fous de moi là ?

Il redescend les marches d'escaliers tellement rapidement que j'ai eu l'impression qu'il avait des fusées aux pieds.

Moi: bah quoi ? Toi tu as le droit de faire venir tes meufs et moi non.

Sahbi : ici, c'est chez moi, je fais ce que je veux. Tu veux une maison pour faire venir ton pédé, trouve la tienne.

Moi : ok, t'inquiète, c'est juste une question de temps.

Je le contourne, il m'énerve ce mec, c'est comme s'il est né pour me pourrir la vie et les aura, je le déteste de tout mon coeur, il aurai dû rester à Aitihya.

Sahbi : bébé, attend je voulais pas dire ça comme ça.

Moi: je crois qu'on n'a plus rien à se dire. Je vais chercher un autre endroit où vivre.

Sahbi: Non, ne pars pas, je t'en prie. Je ne veux pas te perdre.

Moi : tu m'as déjà perdu Sahbi, de quoi est-ce que tu parles?

Sahbi : je suis désolé, je voulais pas...bébé s'il te plaît.

J'enlève mon bras de son emprise et monte dans sa chambre enfin dans notre chambre conjugale.

Mariée de force  à un monstre ( en réécriture) Where stories live. Discover now