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Le lendemain je me réveille vers 14h.

C'est demain qu'il va se marier.

Je mets mes mains sur mon visage. J'y croyais toujours pas. Je respire un grand coup, il est hors de question que je pleure.

Je me lève de mon lit et je m'habille. Je mets un jogging et un sweat.

Je m'attache les cheveux et je sors de ma chambre.

Pelin n'était pas à la maison.

Je vais m'assoir au salon. C'était silencieux.

Logique Sana.

Je commençais à me remémorer de nos souvenirs avec Adem.

Flashback:

Au bout de quelques secondes je décroche mes lèvres des siennes et je pose mon front contre le tien.

Se regard, je l'oublierais jamais.

Je le regarde droit dans les yeux.

Moi: Je t'aime Adem

Je vois un sourire se dessiner sur son visage.

Il me regarde droit dans les yeux et me prend dans ses bras. Je le serre fort, il m'avait terriblement manquer.

Adem: T'es la plus belle personne qu'Allah ai mis sur mon chemin

Alala... je sais pas comment expliquer cette émotion, je peux juste dire que je me sentais tellement bien et heureuse.

Moi: Me laisse plus jamais

Adem: Plus jamais, t'es toute ma putain de vie Sana..

Je lui souris.

Adem: Je t'aimerais jusqu'à se que le Jannah nous réunissent insh'Allah

Fin du flashback.

Flashback:

Adem: Je sais pas comment vont être nos enfants si toi t'es comme sa

Moi: Nos enfants ?

Adem: Bah oe

Moi: Qui a dit que j'allais me marier avec toi ?

Adem: C'est moi qui te marie, personne d'autre

Fin du flashback.

Flashback:

Adem: T'es trop belle de près

Olala j'étais entrain de rougir.

Je me lève et je pars déposer le désinfectant à sa place.

Quand je retourne au salon, je vois Adem allongée sur le canapé.

Je me dirige vers lui et j'essaye de le réveiller.

Moi: Adem lève toi

Il me répond pas, je sais qu'il m'entend très bien mais il le fais exprès.

Je me retourne pour partir quand il me tire par le bras et sans comprendre quoi que se sois, je me retrouve sur lui.

On était tout près. On sentait que nos respirations. Il fixait mes lèvres.

Fin du flashback.

Alala.. Que des paroles en l'airs.

Il n'a pas tenu sa promesse.

Mes larmes montés mais je me retiens.

Chronique de Sana : « Un amour impossible »Where stories live. Discover now