Entre deux Mondes [BL]

Vers l'autre Monde

Yifeng se retrouvait dans la rue, essoufflé, il respirait de manière saccadée et, il avait chaud. Il sentait plein de phéromones d'Alpha qu'il en perdait la tête.

{CETTE FICTION EST UN BL (BOY LOVE) OMEGAVERSE}

Quelques jours auparavant

Yifeng était un jeune roturier qui vivait auprès de sa famille. Il vivait très heureux auprès de sa famille. Ils mangeaient ensemble, riaient ensemble, tout semblait parfait pour un roturier vous pensez.

La raison pour laquelle il vivait heureux, c'est bien parce que tout le monde le laissait tranquille, et pour quel raison ? La raison est simple.
La "rumeur" les personnes du villages, roturier ou noble le prenait pour un fantôme. Ils pensaient ça car il avait survécu à un tout petit accident en forêt.

À chaque fois qu'il passait à côté de quelqu'un, c'était toujours la même chose. Comme le moment où, il allait simplement acheter des fruits pas cher, avec le peu d'argents qui lui restait sous la poche. Quelqu'un, un veille homme de à peu près 60 ans, le bouscula.

- Hein ? Euh j'ai percuté quelque chose ?

Il baissait alors ses yeux vers le bas comme pour regarder le jeune homme qui était venu juste s'acheter à manger.

-Ah, désolé, je ne t'ai pas vu.

Aussi tôt qu'il prononça ces quelques mots, le vieille homme ne faisait plus du tout attention à lui. Sa réputation "le fantôme" comme ils appellent, lui allait parfaitement bien. C'est ce que Yifeng se disait. Malgré ses apparences, ça lui allait très bien qu'on le prenne pour un fantôme. Tout le monde le laissait tranquille.

Après avoir acheté ses fruits, il pouvait enfin aller chez lui, en marchant à grand pas.

Sur le chemin de sa route, il croisait un magasin avec une pancarte qui était indiquée "Je change votre avenir".

En lisant cette pancarte, Yifeng soupira.

-Je n'ai même pas besoin que l'on change mon avenir, je suis déjà assez heureux comme cela.

Il comptait alors le nombre de pomme qu'il avait acheter pour sa famille entière. Ils étaient 4.

Sa mère, son père, et ses deux sœurs.
Ce n'était pas assez.

-Merde, je ne suis pas assez riche...

Quelqu'un sortait du magasin. Probablement la vendeuse.

-Bonjour, je vois que vous êtes intéressé par ce magasin.

Le jeune homme jeta un regard sombre à la vendeuse.

-Je n'ai pas d'argents.

La vendeuse ricana.

-Hahahaha, ce n'est pas grave, en ce moment peu de clients viennent. Ils pensent que ce que l'on fait n'est que de la superstition, ou que cela ne pourrait attirer seulement des ennuies supplémentaires à cause d'un "effet secondaire" ou un truc du genre.

Le jeune homme, pas convaincu lançait un regard douteux sur la jeune femme.

-Ça ne coûte rien d'essayer après tout. À moins que tu veuilles passer ta chance d'être riche, et de ne pas pouvoir nourrir ta famille. Enfin, les nourrir avec deux malheureuses pommes ?
Dit la jeune femme en posant des questions rhétoriques. (Petit point : les questions rhétoriques pour ceux qui ne savent pas ça veut dire poser une question auquel on connait la réponse, par exemple : "mais tu es bête ou quoi ?!" Etc... vous avez compris, la personne qui est "bête" ne va pas répondre, puisque elle le sait qu'il est bête d'où la question "inutile" sans réponse. Bon voilà pour l'explication)