L'humaine Et Deux Alphas

Chapitre 27.

Nous ne perdons pas une minutes et nous met en route.
Ça fait longtemps que je n'avais pas mis les pied là bas, depuis la mort de mon père.
Nous nous garrons devant l'entrée du grand manoir et ne perds pas une minutes à descendre.
- Tu penses toujours qu'ils sont ici ?
- On est sur le point de savoir.
Arthur pousse la porte en bois qui fermait la cave et nous entrons.
La poussiere sur le sol et les morceau de bouteille casser montre clairement que l'endroit n'a pas été nettoyer depuis des années, ma mère non plus ne semble pas être revenue ici depuis cet incident.
- Il y avait bien quelqu'un ici. Arthur prisa le silence.
- Comment ça il y avait quelqu'un ici ?
- Tu penses qu'ils auraient laisser un indices par erreur sur le sol de ta salle de bain, indiquant exactement où ils se trouvaient.

Il marque un point, mais on serait venue ici pour rien ?
Un cri me fait sortir de ma trans.
Elhena !!
Je defonce la porte en face de moi avec l'espoir de voir ses beaux yeux noisettes.
Elle etait là sur une chaise les mains et les pieds noués, les yeux glonflés en larmes, je pus lire une seule phrase sur ses lèvres avant qu'un coup de feu ne retentisse.
Sa vue se brouilla de larmes, et elle tomba inconsciente sur le sol, je déposa doucement ma main sur ma poitrine qui était tacher de sang.
Je ne perds pas de temps et saute dechirant mes vetements laissant apparaitre un loup féroce et soif de vengence.

Je sauta sur l'homme qui avec son sourire narquois qui c'était transformé en regard de terreur et lui tranche la gorge de mes dents, Arthur attrapa la femme qui essayait de sauter par la fenêtre et mes deux bêtas c'étaient déjà transformé et attendait que je leur donne le signal d'attaquer.
Je repris ma forme humaine et coura en direction d'Elhena qui était toujours allonger sur la chaise.
Je déchira les liens qui la maintenait et la pris dans les bras.

J'avais si peur de te perdre, si tu savais.
Je vous jure que vous allez me le payez, Je fais signe à mes bêtas d'emmener Elhena dans la voiture et monta dans une autre voiture accompagnée de Arthur et de l'autre femme.

Nous arrivons deux heures plus tard sur mon territoire.
- Ça va aller avec ta blessure.
- Même si c'est une balle en argent ce n'est rien comparé à mes pouvoirs.
- D'accord nous allons à la cabane faire parler notre chère prisonière.
- Je vous rejoins.

J'entre dans la chambre et m'assoie sur le rebord du lit.
Elle est allongé là endormie, les cordes ont laisser une traces bleuets sur ses poignets et ses chevilles, et ses lèvres sont un peu enflées.
Je caresse doucement ses cheveux, même malgré ça elle reste magnifique.
Elle remut doucement les paupières en poussant un petit gémissement, qui pour une raison me fait réagir.
Elle me regarde tel un petit chat étourdie.
- Bonjour chaton.
Elle semble fixé ses mains pendant une minute puis relève les yeux se rappelant enfin ce qu'il c'est passé.
- Ils ont mes parents.
- Ne t'inquiète pas nous avons l'un d'entre eux, je te promets de retrouvé tes parents.
Avec surprise elle me caresse doucement la main.
- Merci de m'avoir retrouver.
- Tu ne sais pas à qu'elle point j'ai eu peur.
Elle baisse doucement les yeux.
- J'ai besoin de prendre une douche.
- Tu as entièrement raison.
Elle rit doucement et sort du lit.
Pour être honnête son rire m'avait manquer.
- Toi aussi tu en as besoin.
- Bah on a qu'à le prendre ensemble.
J'ai peine finit ma phrase qu'elle me lançe un oreiller que j'esquive, j'eclate  de rire en la regardant.