Chapitre 21

354 15 5
                                    

                                Pov Charles

Le livreur sonne enfin à la porte et elle s'empresse d'aller récupérer notre dîner.

- Tu va me dire ce que tu a à me proposer maintenant ? Elle sort notre repas du sac.

- Ne sois pas si impatiente. Assis toi au moins.

Elle fini par s'assoir, mais son impatience et toujours aussi présente. Elle me regarde, prête à m'écouter.

- Très bien. Il y a un poste chez Ferrari qui viens de se libérer, il occupe les même fonction que tu a à ton travaille actuel mais cette fois ci, se sera à la Scuderia Ferrari. Quand j'ai appris la nouvelle, j'ai penser que cette occasion pourrait t'intéresser. J'attrape c'est mains dans l'attente d'une réponse.

- C'est sa que tu me propose ?

- Oui. Elle enlève immédiatement c'est mains des mienne. Sa résoudrait pas mal de questions qui te préoccupe entre nous.

- Non non Charles. Il en et hors de question.

- Pourquoi ?

- Ce que tu me demande là, c'est de tout quitter pour te suivre ?

- En quelque sorte, oui.

- Alors celle là c'est la meilleure. Elle se lève et enroule l'élastique quel a autour de son poignet a c'est cheveux. Donc il faut que je quitte tout pour toi.

- Non, je n'est pas dit sa non plus.

- À ba moi c'est ce que je comprend. Je vais t'expliquer quelque chose Charles. Son ton et froid et à la fois dur. Il a y'a 4 ans j'ai perdu mes deux parents dans un accidents de voiture, je me suis retrouver seul, à devoir gérer une maison, deux enterrement et apprendre à gérer mes besoin. A cette époque la, j'été encore en étude, j'avais le projet de devenir médecin comme mon père l'été. Du jour au lendemain tout mon monde c'est écrouler, j'ai pris le premier travaille que j'ai trouver pour arriver à vivre, j'ai garder des enfants, promener ses chiens, j'ai même fini caissière, tout sa pour gagner un peu d'argent et pouvoir manger et payer les quelque dette que mes parents mon laisser. Tout sa ne me plaisait pas, j'ai repris une formation de quelque mois pour faire le métier que je fait aujourd'hui. J'ai galérer comme pas possible. Je me suis pris un nombre de refus inimaginable. Et quand j'ai enfin réussi à obtenir ce que je voulais réellement, j'ai commencer à aller mieux. Et aujourd'hui tu veut m'enlever tout ce qui me plaît ? J'aime ce que je fait Charles, et pour rien au monde je n'en partirais. Peut être qu'un jour sa arrivera, mais ce jour il n'est pas encore arrivé.

- Je ... je n'est pas le temps de continuer ma phrase quel poursuis.

- Non Charles, je ne veut plus rien entendre. Une larmes coule le long de sa joue.

On reste un long moment à se fixer l'un l'autre sans briser le silence qui c'est installer. Elle fini par lever les yeux au ciel et partir en direction de sa chambre. Quel con.

Elle me montre enfin son vrai caractère, et ses faiblesses. La première fois quel m'a parler du décès de c'est parents, je les trouver très forte, finalement la douleur et toujours aussi présente au fond d'elle. Elle m'a avouer une partie de sa vie, qui je ne pensais pas été si sombre. Et je regrette d'avoir fait revenir c'est souvenir à la surface.

Je glisse légèrement la porte coulissante qui relis à sa chambre, et l'appercois recroquevillée sur elle même sur son lit, les yeux remplis de larmes. Je m'en veut tellement.

- Laisse moi un moment.

Nos regard se croise et je hoche discrètement la tête et respect son besoin d'être seul un moment en refermant la porte.

Je croyais vraiment quel quitterais tout pour me rejoindre sur les circuits ? Quel idiot je suis.

Mon corps viens s'avachire sur le canapé une nouvelle fois, et mon regard se porte sur les aiguilles de la petite pendule qui se trouve accroché en face de moi.

Les secondes défile, puis les minutes, et s'en viens une heure.

Je retente ma chance une nouvelle fois et ouvre la porte qui me sépare d'elle. J'aperçois quel c'est endormie, je m'approche alors d'elle et enlève les quelque mèche de cheveux qui tombe sur son visage. Je reste assis à coter d'elle un long moment en l'observant.

Je fini par ranger toute la nourriture rester sur la table basse que nous n'avons finalement pas toucher, le plaid qui traîne sur son canapé fini par la recouvrir et je m'installe à c'est coter en la serrant contre moi pour quel n'est pas froid. Le sommeil peine à arriver, et je me demande comment ce passera la journée de demain.

A l'entente de mon prénom je peine à ouvrir les yeux et aperçois la brune pencher au dessus de moi.

Sa tête viens se poser sur mon torse et elle répète le mots désoler à plusieurs reprise.

- De quoi tu t'excuse ? Je caresse ses cheveux.

- De mettre emporter hier soir.

- Sa veut dire que tu accepte ? Elle relève la tête pour me regarder. Sa va, je rigole viens par la. Je l'attrape pour la ramener à ma hauteur. C'était stupide de ma part.

- Sa aurait pu marcher avec une autre mais pas avec moi.

- Ne dit pas des idioties pareille.

Mes lèvres vienne ce coler immédiatement au sienne pour la faire taire, et approuvé quel et toujours mienne pour le moment. Elle ne rétorque pas et rien ne me fait plus plaisir.

- Sujet clôt je ne veut plus en parler. Fini t-elle par me dire.

Si j'arrive à conquérir son cœur autant quel a conquis le miens, alors les chose se ferons d'elle même.

Une rencontre à Maranello ~ Charles Leclerc Où les histoires vivent. Découvrez maintenant