Chapitre 27

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                                Pov Charles

Les mots font mal à attendre, mais elle et la, alors je compte bien profiter de chaque instant de sa présence à mes coter.

Après être rapidement passer chez moi pour y déposer ses affaires, je l'emmène manger dans le meilleure restaurant de Monaco.

- Je te laisse choisir. Me dit-elle en posant la carte. Surprend moi.

- Oh oh, ne me dit pas des choses comme sa. Je rie.

Se magnifique sourire apparaît à nouveau sur ses lèvres. Après un rapide tour de la carte, je nous commande ce que je prend habituellement. Je suis sûr que sa lui plaira.

Le repas se passe dans les rire et la bonne humeur. Elle apprécie chaque plat qui lui son amener, et la voir sourire et a présent la plus belle chose que je peu voir.

Notre repas terminé, je la prend par la main et l'emmène traverser les rues de Monaco peu éclairé à cette heure ci.

L'air frais, me fait du bien, et la chaleur de sa main me réchauffe, je ne voudrais jamais la lâcher. L'embarquer avec moi partout où je vais, et que nous puissions vivre pleinement notre histoire. Malheureusement, elle en a choisis autrement. Je ne peu qu'accepter son choix. Le train de vie que je mène, et très compliqué et je comprend quel ne veulent pas l'accepter.

Je reste persuadé qu'un jour nous nous retrouverons, et je m'accroche à cette idée.

- Doucement, tu va me broyer la main si tu continue.

A cette penser de devoir la quitter, je n'est pas sentie ma force et serrer un peu plus fort que ce que je ne penser.

- Je n'est pas envie de te lâcher.

Elle s'arrête, et son regard viens se perdre dans le mien.

- Ne gâche pas c'est dernier moments, mais profite en.

Elle a raison. Mais c'est plus dur à faire, quel ne le pense.

Elle approche c'est lèvre, et viens déposer un baiser sur les mienne. Elle a réussi à me redonner le sourire.

- On peut rentrer, je commence à avoir froid ?

J'acquise et nous reprenons la route jusqu'à mon appartement.

- Qu'est ce que tu veut faire demain ? Je lui demande en m'asseyant à ses coter dans le canapé.

- Je ne sais pas, qu'est ce que tu me propose ?

- J'ai une idée.

- Je t'écoute ?

- Surprise.

Elle fait mine de bouder, je la prend dans mes bras et elle retrouve son jolie sourire. On reste comme sa un long moment, à discuter et on fini par aller se coucher. Elle s'endort rapidement, alors que je joue toujours avec c'est cheveux qui tombe sur mon bras.

Je suis fou d'elle, la laisser partir va être un véritable supplice.

Le jour commence à se lever, et les premiers rayon du soleil traverse le volet. Juline dors toujours, et je me lève doucement pour ne pas la réveiller.

Comme tous les matins où je suis à Monaco, je rejoins mon frère Arthur, et nous allons courir ensemble.

- Aller plus vite Arthur, j'ai pas beaucoup de temps. Lui dis-je alors qu'il et à la traîne.

- Qu'est ce que t'a à faire pour être si pressée que sa ? Me demande t-il essoufflé.

- T'occupe, et cours.

Sa main viens frapper mon dos et nous poursuivons notre course. Mes pieds défile dans les rues de Monaco devant un lever de soleil. Je voudrais être rentré avant que Juline se réveille.

- Continue, j'ai une course à faire et je rentre ensuite. J'avertis mon frère.

- Va si, je t'attend on rentre ensemble.

Je soupire et le laisse reprendre son souffle, en parcourant la rue en direction de la boulangerie. Mon sachet dans les mains, je retrouve mon frère qui ne peu s'empêcher de faire une remarque.

- Hum, toi y a quelqu'un qui t'attend si tu ramènes le petit dej !

- T'occupe je t'es dit, et cours.

Après un rire de sa part, il reprend sa course à mes coter. Il va me questionner tout le long du trajet, mais je ne lui donne aucune réponse, ce qui l'énerve et il insiste d'avantage.

Je suis très proche de ma mère et de mes frère, généralement, on se dit toujours tout, et c'est moment où on se retrouve ensemble on en profite pour discuter. Nous sommes tous très occuper par nos carrière, et ma mère se retrouve souvent seul à Monaco, mais on fait le maximum pour se retrouver tous ensemble dès que l'on peu. Je n'est pas l'habitude de cacher des choses à mon frère, mais sur ce coup là, il ne sera rien.

- Aller Charles, dis moi quelque chose ! Insiste t-il.

- Non Arthur. Lui dis-je en rigolant. Aller frangin à plus. Je lui tape dans le dos et rejoins mon immeuble. Compte pas sur moi pour demain matin. Je le salue d'un signe de la main et rejoins mon appartement.

Quand je pénètre dans l'appartement, Juline et assise à table, vêtu d'un simple t-shirt blanc quel a dû me piquer dans mon armoire.

- Ou été tu ? Me dit-elle en me voyant. Je m'inquiétais.

- Je ne suis pas partie t'inquiète pas. Je dépose le sachet devant elle. J'ai été chercher le petit déjeuner, et par la même occasion courir avec mon frère.

Je m'approche d'elle pour l'embrasser et elle me grimace, au vu de la sueur sur mon visage. J'en profite pour me coller à elle, elle rie et me supplie d'arrêter.

- Je vais à la douche. Je dépose mes lèvres sur les sienne une nouvelle fois. Il me semble que c'est à moi sa. J'attrape le haut de son t-shirt.

- C'est à moi maintenant. Me dit-elle en riant.

L'eau chaude qui coule sur mon corps détend mes muscles. Je reste un cours moment à savourer l'eau chaude avant de m'habiller rapidement et de la rejoindre.

Elle et entrain se faire un café, et je pourrais presque m'habituer à cette scène tous les matin.

- Le café et prêt. Me dit-elle en déposant les deux tasses sur la table.

Il et impossible que je la laisse partir demain. On m'a toujours dit que je le serais le jour où se sera la bonne personne. C'est elle.

Une rencontre à Maranello ~ Charles Leclerc Donde viven las historias. Descúbrelo ahora