T2. Chapitre 12

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                                   Pov Juline

J'aurais du me douter que Carlos n'aurais pas su tenir sa langue, pourtant je continue toujours de me confier à lui.

Ma jambe, encore un peu douloureuse face au choc que j'ai eu lors de mon accident l'a semaine dernière, je boîte jusqu'à rejoindre la table qui orne la pièce. Je m'installe sur une chaise, et Charles fait de même, en face de moi.

- Comment tu va ?

- Sa va.

- Juline, arrête d'être froide comme sa. Je suis venu pour savoir comment tu aller.

- Tu n'avais pas besoin de te déplacer, tu pouvais appeler.

- Non, je voulais te voir. J'avais besoin de te voir.

Son doigts s'approche mon arcade recousu et son contact me fait frissonner.

- Qu'est ce qui c'est passer ?

- Un face à face. L'air bag c'est déclencher sa ma ouvre l'arcade, et fait voler mon bras.

- Pourquoi tu ne m'a pas prévenu ?

- Parce que je n'est pas à le faire.

Ses mains retombe sur la table, comme déboussoler. Le silence s'installe, seul nos yeux reste en contact.

- Qu'est ce que je peu faire pour t'aider ?

- Un café pour commencé ?

Ma réponse le fait sourire et il rejoins la cuisine pour nous préparer deux café.

Je ne sais pas comment je doit prendre sa présence ici, je sais qu'il n'avais pas prévu de venir à Maranello pendant la trêve estivale.

Le déjeuner ce passe plus ou moins dans le silence. C'est une sensation étrange, comme si on n'avais plus rien à se dire, mais que la présence de l'un et l'autre nous suffisait.

- Est ce que je peu t'aider à autre chose ? Me demande t-il.

- Oui. Attrape mon ordinateur sur le bureau.

Comme si il connaissait parfaitement les lieux, il ne cherche pas et trouve immédiatement mon bureau, il viens ce rasoir à mes coter.

- Je suis droitière. Je lui fait signe de mon bras droit recouvert du plâtre du haut de mon bras jusqu'a mon poignet. Si je te dicte des truc tu peu les écrire ?

- Tu n'est pas sensée ne pas travailler ?

- Non, je peu très bien le faire de chez moi, alors c'est bon.

J'ai eu le droit à une leçon de moral, me disant qu'il fallait que je me repose, que le travaille attendra mais je les convaincu de taper sur les touches du clavier.

Les postes des prochaines semaines son prêt grâce à Charles, sa nous aura pris beaucoup moins de temps que si j'avais dû le faire seul.

Sous recommandation du docteur Leclerc, il faut que je m'allonge un peu, le canapé fera l'affaire et je décide de lui montrer l'étendu de bleu qui orne sur une grande partie de ma jambe. Au vu de la tête qu'il fait, je ne pense pas qu'il s'attendait à sa.

- Sa doit te faire horriblement mal.

- Quand je marche, oui sinon sa va.

Je prend sa à la rigolade ce qui ne le fait pas rire. Il me fait les gros yeux avant de venir s'installer à mes coter. Ma tête viens se poser sur son épaule et on va rester ainsi tous le restant de la journée, à discuter.

Une rencontre à Maranello ~ Charles Leclerc Où les histoires vivent. Découvrez maintenant