A, b ou c ?

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Attention ce chapitre contient des scènes qui peuvent heurter la sensibilité d’autrui.

Pdv Ben :

" - Non papa ! Aide moi !!!, NON  ! Aie !  Arrête....
- Ha ha ha ha...  Oui, c’est ça pleure !  "

Je me suis senti impuissant.
Je ne pouvais rien faire.
J’étais vivant et mort à la fois.
Je n’ai jamais eu cette sensation de ne pas avoir le contrôle aussi forte.
Jusqu’ici.
Elles avaient kidnappé mes filles, tué ma femme, tué ma fille, mais toujours loin de moi. Je n’étais pas devant. Je ne sentais pas leurs sang m’éclabousser.
Je n’entendais pas leurs os craquer.
Je ne voyait pas leurs larmes s’écraser sur le sol avec autant de force.
Je ne sentais pas l’odeur de leurs sang.
Je n’étais pas en face d’eux, sans rien pouvoir faire.
" - A, b ou c ? "
Cette question a résonné dans ma tête une dizaine de fois...
Ça veut dire quoi ça ?
Qu’est ce qu’elles vont lui faire ?
C’est quoi le à ?
Et le b, et le c ?
Si je ne répond pas, que va t-il se passer ?
J’ai choisi la lettre b.
J’ai pour habitude de choisir le juste milieu... ce que je fis.
" - B.
- Très bon choix !! m’à félicité Amina.
- Ça veut dire quoi ??
- A = Tranché. B = Decouper. C = Planter.
Non !!!!

Pdv : Amina.
Lorsque j’ai vu son visage se décomposer, j’ai su que nous avions fait le bon choix, pour être tout à fait honnête avec vous, je n’étais pas franchement heureuse de faire souffrir la petite, j,avais garder un petit bout de cœur, mais, on arrivait à un stade iu je n’avais plus le choix...
J’ai pris un couteau à dents, puis, je l’ai placé au dessus de sa main. Ensuite, j’ai appuyé et j’ai commencé à découper. Du sang coulait de plus en plus, elle hurlait de plus en plus, il pleurait de plus en plus, et , étonnamment, je me sentais de mieux en mieux.
Arrivé à l’os, j’ai pris un plus gros couteau, puis, j’ai mis tout mon poids sur l’os.
CRAC !
Sa main est tombée sur le sol dans un bruit sourd.
Je souriais de toute mes dents en voyant Ben pleuré à chaude larme.
Je me suis ensuite attaqué à sa deuxième mains, j’ai été d’ailleurs plus rapid sur cette main que sur la première, je m’habitue vite.
Après ça, j’ai donner le couteau a Cassy.
Elle l’à pris, puis, elle lui a tranché la gorge. Toute sa gorge était ouverte, elle s’étouffait avec son propre sang. Puis, Cassy à tendu le couteau à Céline. Celle ci l’à pris. Puis, elle l’à décapiter.
J’ai pris la tete de la petite, et je l’ai posé sur la table en face de Ben.
Puis nous sommes,parties.
Nous l’avons laissé au même endroit pendant trois jours nous ne l’avons même pas détacher.
Ses besoins ? Il l’est faisait sur lui même.
Il n’à pu boire que c’est larmes, en vrais je lui ai versé de l’eau sur lui car je n’avais aucune envie qu’il meurt de soif, tout seul.
Le lendemain du troisième jour, j’ai mis dans la pièce où il était enfermé de la musique forte pendant toute la journée sans aucune interruption, le lendemain, je lui ai mis de la musique classique sans interruption non plus.
Il était devenu fou.
Le cinquième jour, je venais toute les deux heures lui mettre des coups de batte dans la tête.
Cassy et Céline aussi lui en mettait mais je frappait deux fois plus fort qu’elles deux réunies.
Le sixième jours, je suis entré dans la pièce accompagné des deux autres filles.

Pdv: Ben.

Lorsque je les aient vu entré, j’étais enfin heureux. Elles allaient en finir avec moi !
C’était tout ce que je souhaitais... mourir.
Depuis la mort de ma dernière fille. Mon cœur était brisé...
Je venais de perdre ce que j’avais de plus précieux en ce bas monde.... Ce qui me fait réellement mal, c’est que je n’ai pas su les protéger. J’ai été lâche. Je aurais jamais pu savoir qu’elles allaient aller aussi loin, mais lorsque je m’en suis rendu compte... il était trop tard.

Pdv : Cassy.

Nous a la dernière étape de notre plan pour le briser mentalement.

Il va bouffer son chien... cru.
Oui, vous avez bien lu. D’ailleurs, son chien est encore vivant... dans un sal état, mais vivant. Nous avons attacher son chien de sorte à ce qu’il ne puisse pas bouger.

Lorsque nous sommes entrées, Ben avait l’air soulagé, le pauvre il ne s’attendait absolument pas à ce qui allait lui arriver !
J’ai alors pris le sac ou gesticullait son chien puis je l'ai invertir et posé sur la table à côté de la tête de sa fille en décomposition.
Il n’à rien compris, j’ai donc pris la parole :
" - Bonjour Ben. Comment vas tu ?
- ...
- Tu n’as pourtant pas encore perdu ta langue à ce que je sache, si ?
- ...
- Bon je vais t’expliquer très clairement les règles du nouveau jeu. Tu le vois ton chien ? Tu vas le manger. Tout simplement. Il va falloir que tu mord au bon endroit et au bon moment si tu ne veux pas qu’il ne souffre de trop.
- ...
- Vous ne pouvez pas m’y obliger... avait-il chuchoté.
- C’est ce que tu crois petit. Dit toi que c’est soit ça, soit je vais te trancher tes propres doigts et te les faire bouffer jusqu’au dernier au point où tu me suppliera toi même de manger ton chien.
A toi de faire ton choix.... je le respecterais.
- Je ne le ferais pas...
- J’espérais que tu veuille résister. Le couteau Céline s’il te plaît.
- Avec plaisir. "
J’ai pris le petit couteau dentée, puis je lui ai couper très rapidement son index, à chaque coup de couteau il hurlait de plus en plus... Après avoir couper entièrement son doigt, Céline a prit un briquet et elle a brûler le moignon ce qui a fait redoubler ses cris mais ce qui a empêcher une hémorragie.
Il allait s’évanouire mais j’ai anticipé et j’ai pris une poché de glace que j’ai posé sur son cou...
J’ai ensuite pris son doigt que j’ai enfoncé dans sa bouche, il n’à pas pu résister très longtemps, il l’à mâcher puis recracher aussi rapidement.

" - Alors que choisi tu ?
- Arrêtez s’il vous plaît !
- Que dois-je faire ? Je ne suis pas sûr de comprendre !
- Je... je vais... je vais le manger...

Elles te suivent, elles te traquent, elles te tuent.Where stories live. Discover now