REPUBLICATION
Septième et dernière année pour nos Maraudeurs. Dernière année signifiant derniers souvenirs, derniers cours et derniers merveilleux moments passés entre amis avant d'entrer dans le monde des adultes.
Deux nouveaux élèves se joindront...
Asterin est prête pour une nouvelle journée. Comme à son habitude, elle prit une douche et s'habille. Un simple jean noir avec une chemise en coton ainsi que des talons.
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Elle accompagne le tout de sa cape et de ses bijoux. La jeune fille descend dans la salle commune tout en fermant la boucle de sa cape autour de son cou lorsqu'elle croise Bellatrix et Narcissa.
- Salut vous deux.
- Bien dormi ?
- Oui, vous avez déjeuné ?
- On t'attendait.
- T'es assez rapide comme fille, remarque Bellatrix.
- Mais toujours parfaite, renchérit sa sœur.
Asterin les remercie et elles partent dans la Grande Salle. Le trio s'installe avec les gars qui sont déjà en train de manger.
- Vous mettez bien plus de temps le matin, remarque Rabastan.
- On a pas loupé notre réveil cette fois ci.
La brune se sert une tasse de café et se beurra des tartines de confitures avant de faire apparaître un parchemin et une plume sans qu'elle n'ait besoin d'encre.
- À qui tu écris ? Demande Regulus.
- À ma mère, elle va péter un câble si je ne le fais pas.
- Oh ça va, fait Rodolphus. Nous on envoie une lettre à nos parents une fois tout les six mois et c'est bon.
- Tu ne connais pas ma mère, ricane Asterin en écrivant. Elle est extrêmement protectrice, s'en est presque flippant.
- Genre t'as jamais vu l'extérieur de chez toi ?
Elle lève les yeux vers Rabastan.
- Oui. Bien que de venir d'une famille riche, d'avoir je ne sais combien de pièces pour faire n'importe quoi, quand tu es seule ça devient rapidement ennuyeux. Je crois qu'elle avait juste peur que je me fasse tuer. Si elle savait, marmonne Asterin. Elle croit juste que je ne peux pas me défendre. La bonne blague.
- Ok on imagine bien que tu as une magie puissante mais à quel point ?
- Ça serait facile pour moi de jeter un sort car je n'ai pas besoin de baguette ni de parler. Et je n'imagine pas ce que peux faire Jedusor.
- Oh tout un tas de chose, affirma celui ci en face d'elle.
Il se penche vers Asterin.
- Tu veux que je te montre ?
La brune met une main sur son visage pour le repousser.
- Sans façon.
- Je sais que tu es totalement dingue de moi, trésor.
- Le jour où je te donnerais de l'attention Jedusor, du moins celle que tu semble attendre de moi, je préférerais aller embrasser le Calamar Géant.
