34. sourire artificiel

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Tw : mention de mort, coma, culpabilité.

Éthie.

Mes pas résonnaient dans le silence pesant du couloir.

Je courrais sans m'arrêter à travers la villa pour trouver la chambre où elle avait été placée.

À peine Phill avait il finit de me soigner que j'avais couru sans me retourner une seconde.

Mes pas étaient poussés par une seule pensées : Elle n'était pas morte.

Je tournais et descendis au sous sol ou se trouvait l'hôpital aménagé.

En arrivant en bas un des médecin que je connaissais très bien car il m'avais soigné maintes et maintes fois m'indiqua sa chambre sans que je n'est à posé la question.

Tout le monde m'avais vu la serré contre moi de toute façon.

Ca me faisait un peu de mal qu'on est pu voir a travers mon masque mais l'heure n'était pas au plaintes.

Pas au miennes en tout cas.

Ésmya pouvait se plaindre des heures ou me hurler dessus elle avait le droit.

Je ne sais pas quelle entité avait décidé de nous mené la vie dure pour qu'on soit blessé presque mortellement l'un après l'autre.

Mais bon sang qu'est-ce que je lui en voulais.

On m'avait raconté que le jour où j'avais eté touché par la balle sur ma moto Ésmya avait pleurer. Je savais aussi qu'elle avait éssayé de mettre fin à ses jours.

Ca m'avais énormément énervé mais maintenant je comprenais.

Elle se sentais coupables, car je m'étais pris la balle pour elle bien que se soit pour le travail.

Et je me sentais coupables qu'elle est endurer tout ça pour moi.

Son supplice aurait pu prendre fin, elle aurait pu le tuer, mais si elle ce ratait c'etait ma vie qui était menacé.

Et elle savais que pour elle je pouvais me faire tuer.
Simplement car elle savais que je devais ma vie à phill est que je ferais tout pour lui.

Dont le fait de sauver celle qu'il considérait comme sa fille.

Dont le fait de lui donner ma vie.

Mais après tout, moi aussi je comptais pour lui.

Sa phrase tournais encore dans ma tête.
"J'ai cru que j'allais avoir deux enfants dans le coma " moi aussi j'étais comme son fils.

Aurait t'il été triste que je me sacrifier pour Ésmya ?
Ou fière ?

Je secouais la tête.

Ce n'était pas le moment de penser à autre chose qu'Esmya.

Ce n'était pas le moment de penser à moi.

Ce n'était jamais le moment de penser à moi

J'entrais dans la pièce en manquants de défoncer la porte.

- Ésmya !  Criais-je d'un t'ont enjoué un demis sourire sur le visage qui disparu aussi vite qu'il était apparu.

Je me figais.

Elle était allongée dans un lit simple, tout blanc bien bordé, une tonne de machines étaient reliées à son corp et elle ne bougeais pas.

Je m'approchais d'elle et l'observait.

Son teint était pâle est ses yeux clos, elle ne bougeait pas d'un cheveux.

Je ne sais pas ce que je n'avais pas compris mais j'avais cru que je la retrouverais.

Brisée Where stories live. Discover now