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Même si la journée vient à peine de commencer, j'ai déjà envie de trucider une personne. La raison ? En voici une petite énigme ! Je suis un effet naturel chez la femme, qui est pour désintégrer la partie enfler de l'endomètre, qui permet à l'embryon de s'y accrocher. Les effets secondaires sont, pour ma part, de gros mal de ventre, une mauvaise humeur doubler et des besoins de manger tout le temps. Avez-vous devinez ? Eh oui, ce sont les règles !

Mais se réveiller dans son sang est autre raison de pourquoi tuer du monde me détendrais. Le pire est que, assit sur une chaise et le visage contre le matelas, ses bras entourant sa tête, se trouve Santiago. Je ne sais pas ce qui lui a prit il y a quelques heures, mais en un claquement de doigts, il a su m'étonner. Surtout en m'ordonnant de le laisser me traiter comme une princesse. Toutefois, le truc qui m'a le plus étonné, fut son baiser sur ma tempe. Après tout, j'étais dans une situation peu plaisante. Donc celui-ci voulait, à coup sûr, me rassurer.

Aussitôt, j'ai senti qu'il se réveillait peu à peu, avant de remarquer l'accident. Tiego s'est tourné vers moi, ses yeux forêt illuminé par le peu de lumière que ma fenêtre laisse entrer.

— Elena...pourquoi est-ce qu'il y a du sang sur la couverture ? me demande-t-il sur un ton curieux.

Une énorme tache rouge décoraient le tissu blanc. J'ai soupirer, sachant que ma dignité est partie. Du moins, elle est rendue au tartare — une partie des enfers grecs, et non la nourriture, au cas où que vous n'aurez pas compris — dès maintenant.

— J'ai mes règles...

— Ah...

Ceci fut ses seules paroles. Inspirante, vous ne trouvez pas ? Non, je blague, il s'est levé de sa chaise, tout en me regardant dans les yeux. Au début, j'avais peur qu'il soit en colère contre moi, mais au final, Santiago me regardait avec tendresse et compréhension.

— Tu peux aller prendre une douche, je m'occupe de laver tout, m'a-t-il expliqué.

Je n'ai pas rouspété et je me suis levé, quand une douleur a parcourut ma jambe droite. Malgré tout, en boîtant tel un chien, je suis entrer dans la salle de bain avant de refermer la porte. En jetant un coup d'œil sur mon pantalon imbibé de sang, une colère a augmenté dans mon esprit. Je me suis foutu à poil, posant mes vêtements tâché dans un coin et activée la douche. Sous l'eau froide, mes pensées se sont bousculés. Je ne savais plus quoi penser de Santiago. Jour pour jour, j'essaye de rester le plus professionnelle possible. Mais sa personne en lui même me remet en question cette notion de rester . Je sens que je me noie peu à peu sous sa manière d'être, je perds mes moyens quand on se retrouve ensemble.

Puis, je me suis rendue compte de quelque chose ; je me sentais allumé de façon sexuelle. Et pourtant, je n'étais pas entrain d'ovulée. Mon cerveau me criait de me calmer les hormones, que je me comportais comme une ado en pleine découverte de son corps. J'ai pris une inspiration, un peu honteuse de ce que je m'apprêtais à faire, et avec deux doigts, je les ai rentrée dans ma chair située entre mes jambes en profondeur. Entre mes lèvres est sortie un doux soupire de plaisir, tandis que mon autre main sur le mur de la douche se crispent. « Oh putain...qu'est-ce que je fais, bordel...» ai-je pensé, en fermant l'eau de la douche.

Peu à peu, quand j'ai sentie que le lubrifiant produit par mes glandes de Bartholin a fait son travail, j'ai accélérer mon mouvement. Je me suis mordu la lèvre inférieure dans la peur que Santiago ne l'entende et se pose des questions. Plus que j'allais vite, plus mon esprits me montraient des choses obscènes.

Mon bassin a avancé en avant, demandant plus de ces sensations addictives. Je déteste l'avouer, mais la luxure arrive à m'attraper de temps à autre, et je ne peux pas m'empêcher d'aimer cela. Pourtant, je me promets souvent d'haïr ça. Puis, tout doucement, je commence à me calmer, enfin. Je retire mes doigts de ma chair, imprégner de sang et de l'autre liquide. Mon corps tremble encore de plaisir, tandis que j'applique du savon sur mes doigts et lave ceux-ci de manière impeccable.

SÖLDNEROù les histoires vivent. Découvrez maintenant