Jeux politiquement défendus [Bardella x Attal]

10. Tensions et Désirs

Hello tout le monde, j'espère que vous allez bien!

Nouveau chapitre, j'espère qu'il vous plaira 🤭!

⚠️🔞Mais attention âmes sensibles s'abstenir, contenu mature🔞⚠️

Et comme à mon habitude petite suggestion musicale 😊:
🎵Moon - Mandrazo🎵

Bonne lecture, hâte de vos retours 🤭🫦

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06h00. Mon réveil hurle dans mes oreilles. Quelle idée de garder son téléphone si proche ! Je passe ma main sur mon visage en me frottant les yeux. Aller debout !

Je me lève, discrètement j'appuie sur la poignée de ma chambre, il dort toujours. Je vais le laisser dormir un peu, j'irais le réveiller après. Sur la pointe des pieds, je me faufile dans la salle de bain. Je referme délicatement la porte derrière moi. J'ouvre le pommeau de la douche, l'eau s'écoule dans une pluie régulière. Alors que je me déshabille, la chaleur de ce liquide translucide embue les vitres et les miroirs de la pièce. Je me glisse dans la touffeur de ce déluge. Les mains appuyées contre le carrelage, la tête baissée, l'eau se fracasse sur mes épaules, laissant un soupir de bien-être s'échapper.

Soudain, de douces caresses sur ma taille me font tressaillir. Je tourne la tête, la nudité d'Attal, éveille mes plus vils désirs. Humm, quelle vision délicieuse ! Les cheveux en bataille, il esquisse un sourire lascif et s'approche de moi en humectant ses lèvres. Ses yeux brûlent d'une étrange provocation qui me rappelle nos derniers ébats. Il dépose de stimulant baisers sur ma peau, passant de mon épaule à mon cou. Je gémis, tandis que les battements de mon cœur s'accélèrent sous la chaleur de sa chair contre la mienne. Ses mains remontent sur mon torse, traçant des sillons de feu de mes hanches jusqu'à ma poitrine.

Il colle son corps contre le mien et je sens sa queue se tendre contre mes fesses. Bon sang ! Submergé de désir, un violent frisson parcourt le bas de mes reins. La moindre friction de sa langue dans mon cou me rend complètement fou. Vous êtes bien matinal, Gabriel, j'adore. Je me retourne, saisis sa tête entre mes mains et écrase mes lèvres sur les siennes. Je le goûte et me délecte de retrouver les saveurs sucrées et mentholées de sa bouche. Je ne l'ai même pas entendu se brosser les dents. Le baiser qu'il me rend est intense, animé par une envie bestiale. Il finit par mordre violemment ma lèvre, m'arrachant une goutte de sang, avant de la relâcher. Devant autant d'engouement, j'abandonne ma surprise dans l'enfièvrement de mes émotions.

— Ah... je vois que vous allez beaucoup mieux... ce matin... Lâché-je, la respiration haletante.

Tandis qu'il dévore mon torse mouillé, il balance ses yeux noyés de perversion vers moi, et laisse échapper un vague sourire, sans briser le contact avec ma peau. Il mordille mes tétons, les titille, les suçote, et je sens mon corps, s'enflammer. C'est si bon ! Il continue sa descente vertigineuse baiser par baiser, alors que ses mains glissent sur mes côtes. Agenouillé, devant moi, il se mord la lèvre face à mon érection. Il me dévisage une dernière fois de haut en bas, avant d'engloutir mon sexe. Ses lèvres serrent ma bite, tandis que sa langue danse autour de mon gland. La chaleur et l'humidité de sa bouche sur mon membre m'embrasent, manifestant mon plaisir dans un puissant râle.

— Humm, Attal, c'est trop bon...

J'enfonce mes doigts dans ses cheveux. Ses mouvements se font plus intenses, plus agressifs, ma queue gagne en dureté et en épaisseur. Je ne veux qu'une chose, le baiser, tout de suite, et maintenant. J'ai envie de te posséder, Attal. Profondément, violemment...