Recueil d'Os HP/DM

The Life... This is Crazy : OS

Il est grand. Je suis petit.
Il a les cheveux noir. J'ai les cheveux blond presque blanc.
Il a les yeux émeraude. J'ai les yeux orageux.
Il a la peau hâlé. J'ai la peau crémeuse.
Tout nous sépare et pourtant je ne peux pas m'empêcher de l'aimer en secret. Le seul hic c'est qu'il est populaire et aimer de tous et moi... non. Son orientation sexuelle n'est pas un problème car il est gay. Bref, pour lui je suis un fantôme, transparent si vous préférez.
Je n'ai qu' une seule amie, elle se nomme Rebecca Blum âgé de 18 ans comme tout les 7 ième années. Elle est noir, elle a les les cheveux noirs, des yeux étrangement n, des lèvres retroussé rouge naturellement, un nez trop mignon et des formes généreusement belles. Son caractère est assez explosif. Elle est gentille, amusante mais aussi sévère, possessive ( Je suis son ami qu'à elle ), franche et surpotetrice avec moi car j'ai une peur bleu des araignées. Bref, elle est mon tout et je suis le sien. On fait tout ensemble même se douché ! Hahahaha, j'imagie votre tête choquée ! Bref. On est dans ma chambre à attendre que l'heure passe.

- Drake ? Tu crois que c'était une bonne idée de sécher les cours comme ça ? Rebecca me demende.
- On est à l'école depuis combien de temps maintenant ? Je demende en soupirant.
- Ça fait maintenant cinq mois. Elle soupire. Je n'aime pas raté une journée d'école mais si ça peut t'aider allé mieux.
- On avait quoi aujourd'hui ? Je m'enlève de mon lit.
- On avait Littérature, Philo, Math et Poésie. Elle sourit bêtement. Nos cours favoris, quoi.

Je me lève précipitamment et la tire avec moi dans la salle de bain pour nous brossé les dents vu qu'on a déjà pris un bain. On s'habille vite et sort à toute vitesse de la maison.

- Si on court assez vite, on peut arrivé à l'heure pour la Philo. Je l'informe. On y est !

On pousse la porte de l'accueil, montre notre carte d'étudiants et monte les 300 marches en vitesse. On souffle un peu et frappe à la porte de notre classe. Madame McGonagal nous ouvre avec un fronsement de sourcils.

- Vous êtes en retard jeunes gens. Elle hausse un sourcils. Votre explication ?

Je regarde Rebecca qui se mord la lèvre pour ne pas tout d'étaler. Je lui donne un coup de coude pour l'elancer.

- Et bien madame, on était chez Draco à manger des chips devant Scandale quand Olivia s'est fait enlevé alors le président a dû faire un choix suprême et aussi on voulait pas allé en cours car Drake voulait évitait quelqu'un. Elle hausse les épaules. C'est tout.
- Ah et qui est cette personne que monsieur Draco évite-t-il ? Elle croise les bras sur sa poitrine.
- Cela est un secret que nous dévoileront jamais car cela ne vous consernes pas. Je lui réponds en rougissant légèrement. Peut - On nous installe ?
- Je vous empris ! Elle se décale et retourne à son bureau. Ou en étions - nous ?
- Ah l'avis de chaque personne sur la vie et le suicide, madame ! Hermione répond en souriant.
- Voilà, merci mademoiselle Hermione. C'est au tour de ah ! Tient, monsieur Draco.

Je lève ma tête de mon cours et balaye la classe du regard. C'est à mon tour ? Ahah heu, bien.

- Lequel en premier ? La vie ou le suicide ?
- La vie. Bien sûr !
- Et bien, il n'y a pas beaucoup a dire sur la vie. La vie est quelque chose d'assez surfaite. Oui, c'est chouette de vivre, on peut faire des sports extrême, on peut jouer avec nos amis ou encore avoir des relations sexuelles mais à la fin par quoi ça se termine ? La mort, madame, la mort. Je regarde madame qui a l'air stupéfié. Et le suicide ? Ahah, Rebecca ? Le suicide ?
- C'est un acte de faiblesse ! Elle imite la voix de Granger. Les lâches l'utilisent pour échappés aux obstacles énormes ou petits.
Et bien, mademoiselle Granger, ceci est faux ! Hermione fronsse les sourcils et ouvre la bouche. Chut, écoutons Draco.
- Merci. Et bien, c'est faux. C'est un acte assez courageux ! Qui nous dit que ces personnes ne veulent pas vivre autant que nous ? Qui nous dit qu'ils n'ont pas d'enfants, de parents, des maris, des femmes ? Qui ? Personne. Et donc aucune preuve pour dire qu'ils sont lâches. Je hausse les épaules et sourit à McGonagal qui à l'air impressionnée. Voilà, la théorie que Rebecca et moi avons établis.