Partie 52

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Bina la petite soeur de Cheick en multimédia.

Salut Salam Aw ni sogoma.

Je sors de l'hôpital Hasna m'attendait devant. Elle me prend dans ses bras puis me dépose chez moi.

J'arrive en face de mon bâtiment je ne regarde personne et rentre.

J'étais tellement dans mon monde que je n'ai pas remarqué que quelqu'un me parlait.

... : Oh il est où ton bébé ?

Moi : ...

... : C'est vrai que son ventre est devenu petit.

Moi : ...

Younes : Son enfant du péché est mort c'est tout.

Je me suis retournée vers lui violemment et je l'ai giflé de toutes mes forces.

Moi : Mon enfant n'est pas un enfant du péché contrairement au tiens ok ? Et vous là.

Je me suis retourné vers les autres.

Moi : Ouais vous, mêlez vous de votre cul non ?

Je suis ensuite montée chez moi.

J'ai dormi toute la journée puis je me suis levée pour manger.

Je regardais les informations quand.

La présentatrice : Nouvelle attaque au nord du Mali. Deux soldats français on été blessé. Nous savons juste qu'ils était de couleur foncée... Il a eu une attaque à la bombe dans un marché de Kidal et ses deux jeunes homme s'y trouvaient. Ils étaient tous les deux dans la vingtaine... nous venons d'apprendre que l'un n'a pas survécu...

J'ai direct pensé à Oussama. Il m'avait dit qu'il partait pour faire des randonnées le soir au tour de la ville où même dans les marchés. Prise de panique j'appelle Hasna.

Elle : Oui Allô ?

Moi : Has.. Hasna il y a eu une attaque au nord.

Elle : Oussama ?

Moi : Je sais pas il y a eu un mort c'était un soldat français de couleur noir.

Elle : ...

Moi : Hasna ?

Elle : Calme toi Fadeija c'est pas bon pour toi. Je vais essayer d'en savoir plus je te rappelle après.

Dans sa voix ça s'entendait qu'elle avait envie de pleurer.

Moi : D'accord.

Et je raccroche.

Et si c'était lui ? Non non Putain c'est pas lui il peut pas nous abandonné comme ça.

Flashback.

Moi : C'est dangereux là bas. Tu risque d'y laisser la vie.

Lui : Dis toi que je serais mort en faisant ce que j'aimais.

Moi : Putain Oussama.

Lui : Fadeija...

Fin.

Dis toi que je serais mort en faisant ce que j'aimais.

Dis toi que je serais mort en faisais ce que jamais.

J'essaie de retenir mes larmes me je n'y arrive pas. Et s'il était mort ? C'est pas possible....

Je me suis endormie dans le salon.

Fadeija.Where stories live. Discover now