Chapitre 1 : Un départ

11.5K 444 65
                                    

Le 15 octobre 1755, Pologne
Varsovie.

- C'est une fille ! C'est une fille ! S'il vous plaît laisser de l'air pour la Comtesse De Dunst.

Mes cris s'envolèrent dans l'air comme un vent d'hiver, ce jour-là.
On me prit dans les bras pour me montrer au peuple, qui attendaient au balcon m'a venue.

- Je vous présente la Comtesse De Dunst. Irmina première du nom.

Le peuple criaient de joie ce jour-là.
Le peuple criaient ma venue, dans ce nouveau monde pour moi. Mes cris semblaient réjouir l'assemblée au balcon.

Ce 15 octobre 1755, fut mémorable dans le palais. Une fête avait était organisé à mon honneur. Le palais grouillé de plusieurs personnes qui parlaient, rigolaient, chantaient et dansaient.

16 ans plus tard...En 1771.

- Comtesse, revenez. Vous courez trop vite.

- Attraper-moi si vous le pouvez Anita.

Je courus dans tout les sens. Le jardin était tellement immense et tellement spectaculaire, que je pouvais faire des cache-cache avec mes serviteurs.
Les cheveux à l'air, j'avais l'apparence d'une enfant sauvage, de la jungle.
Je parcourus mon chemin secret, que personne ne connaissait, même pas ma chère mère. Ma respiration se faisait de plus en plus rapide, ma poitrine remontée et redescendez en rythme.

C'était mon jardin secret, un endroit intime à tous. Des roses rouges se trouvait aux milieux en formes de cercle, dont autour du cercle de roses, se trouvait des marguerites qui encerclaient le cercle. Une grande allée venait arranger ce lieu magique. Avec une arche floral.
Je m'assit sur un banc de bois blanc.
J'arrangea mes cheveux, en les réajustant comme il le fallait.

- Mademoiselle, où êtes-vous ?       

Anita était bien à ma recherche, ce qui me fit légèrement sourire de, la voire s'inquiéter comme cela.

- Je suis ici, Anita ! Criai-je de toute mon âme.

Anita, était ma nourrice et ma servante.
Quand ma chère mère n'avait pas le temps de s'occuper, de moi, Anita était tout le temps à mes côtés. Elle seule sus pour mon jardin secret.
Au loin j'aperçus la chevelure rousse d'Anita. Elle courut en tenant les deux extrémités de sa robe de servante, de noir et bleu marine.

- Enfin vous m'avez trouvé.

- Mademoiselle, votre mère vous demande au palais. Dit-elle en ayant un léger hoquet. Elle vous attend au grand salon principal.

Je me levai du banc.

- J'y vais de ce pas Anita, merci.
Nous nous fîmes la révérence, en ayant la main posée sur le ventre, et l'autre main qui tenait l'extrémité de la robe.

•••

Je fus arrivé au grand salon principal.
Tout les serviteurs, les altesses royales me regardèrent tous, comme si j'étais une paysanne des pauvres villes de Pologne. Je m'avançais, dans ce grand salon ou le marbre, été roi. Le sol était recouvert d'un marbre venant de montagne sauvage, il fut de couleur caramel. Ainsi le plafond était aussi en marbre, avec de grande toile qui recouvrer les angles du plafond. Aussi les lustres, d'une forte taille éclairée bien la pièce. Et puis, les murs fut recouvert eu aussi que de marbre.
C'était pour cela qu'on appeler ce salon : le grand salon principal.

La Comtesse De DunstOù les histoires vivent. Découvrez maintenant