Vestiges.

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Interlude bredouille.
Ils auraient dû demander.
Quelque chose tombe.
Elle ne savait pas.
Savait-elle ?
Il n'y a Rien.
Vraiment, vois, tu ne vois.
Alors elle n'a jamais su.
J'aurais besoin d'un extraterrestre.
Mon extraterrestre que j'aime.

Il vint, lui dont la venue était vindicativement attendue.
Dead Inside.
Il hurla attrapa cogna. Et ce fut. Alors, dors, d'or, d'ores et déjà.
Nothing Left.
Craquement odorant du crâne jaune se fissurant.
Du crâne jaune qui pousse.
Dead Inside.
Rien n'apparaît plus que le savoir qui te hante.
Avaleur d'âmes par l'âge : ta paille. Pour eux, une canne.
Et le bruit naquit brusquement.
Brusquement le bruit naquit.
Control.
Refuser par respect de soi, non, je hurle ton nom.
Toi.
Néga.
Scission fission défrisaient l'horreur de la télé.
Se taire, redondance, cri animal, folie de l'homme perdu.
Tu auras choisi, de mal en pie, ta queue de pie.
Pipe de marrons glacés soufflant du gris volatile dans l'espace.
As tu la moindre idée ?
Tu ne sais pas. Tu effaces.
Passivité agressive, fixer le ciel.

Elle est enfermée entre les lignes. Cloîtrée par les blocs de mots. Libère les, libère la. Sauve toi.

Il hurlait à sa décharge comme des électrons azurés.
Ils ne savent rien, mercy.
Tu l'as prise et brisée, ma mémoire. Tu ne savais pas, n'est ce pas ? Pas plus que moi.
Qu'est ce que je fais maintenant.

Massacrede la mémoire,massacre des sentiments, massacre de l'identité,massacre de l'humanité.
Vous avezréveillé lemonstre.




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