Chapitre 4

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Je suis à l'infirmerie comme il n'y a personne ce qui ne m'étonne pas. On est là rentre de classe alors je ne vois pourquoi ils iraient à l'infirmerie, je suis désespérante. Je sens que cette année va être vraiment mouvementé, moi qui suis habitué au calme, personne qui fait attention à moi et dès fois je m'en plains eh ben je suis servie. De un je me suis fais un ennemi de deux je me suis ridiculiser devant le lycée tout en tiers, je ne vois pas ceux qui pourraient de pire que ça cette journée sera très long. J'avance vers le cabinet de l'infirmière et ouvre la porte. Je retire tout ce que j'ai dis avant en fait il y a une chose qui peut m'arrive de pire ce ça, voir l'infirmière allongé sur son bureau et un jeune homme au dessus d'elle qui doit avoir à proximativement 17 ans. Pourquoi? Pourquoi mon dieu? Pourquoi ça doit m'arrive à moi? Je veux m'excuser de les dérange mais le mots reste coincé dans ma gorgé quand ils m'ont remarques ils semblent aussi surpris que moi et ils sont figé tout comme moi. Je sais pas comment agir devant ce genre de situation moi alors je décidé de m'aller. Je n'irai pas en cours, je vais directement chez moi comme le portail n'est pas fermé. J'ai pas envie d'être témoin de quelques choses du genre là maintenant, je suis sur que je pourrais être témoin d'un meurte ou avoir un accident de voiture, qu'un avions atterri sur moi. J'arrive e chez moi va directement dans ma chambre et l'allonge sur le lit. Je ne pouvais pas avoir une rentrée pire que ça je pense. Je me félicite intérieurement d'avoir pris la décision de partir de ce lycée de malheur. Je fixe le plafond depuis des heures et des heures. La voix de ma mère me revenir sur terre.
- comment s'est passé la rentrée ?
- génial dis je pas du tout enthousiasme.
- ça te dérange pas si tu vas à score pour acheter des pattes il n'y en a plus.
- pas de problème, dis je en me levant je prend l'argent et sors de l'appartement. Au moment où je sort de l'immeuble je me cogne contre quelqu'un, c'est le garçon qui été avec l'infirmière. Il fonce le sourcil et me plaque au mur. Ma tête me fait énormément mal ainsi que mes poignées qu'il tient énormément.
- ta intérêt de garde ce que tu as vu pour toi sinon tu va le regrette compris. Dit il fermement.
- oui oui dis je. Puis il s'en va. Je le vois monte dans le même immeuble que moi. Je repris la route et dépêche de faire cette course avant que quelque chose d'autre arrive.

La promesse de l'aubeWhere stories live. Discover now