Gigi avait des jambes interminables, un visage doux, de magnifique mèches blondes et un sourire à en faire tomber plus d'un. Ancienne héritière d'une grande fortune, elle n'était pas habituée à ce qu'on lui résiste.
Mais il allait le faire. Zayn. U...
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Pourquoi les Barbie se sentent-elles tant menacées ? {1.3}
— MON DIEU, GIGI. Combien de verres as-tu bu ? il me taquina.
— Je sais pas... Je sais plus. Je crois que je sais plus compter ! Zayn je sais plus compter ! paniquais-je en retirant ma tête de son épaule.
Il me reprit les poignets avec une moue rieuse.
— Chh... Tu sais toujours compter. Ça te reviendra demain, quand tu seras sobre, il commença en remettant ma tête sur son épaule. C'est ta première cuite ?
J'hoche la tête.
— Pourquoi tu continu à me parler si je ne me souviendrai plus de rien demain ?
— Je sais pas, avoua-t-il, un sourire dans la voix.
— Ken' m'a dit que tu n'étais pas si méchant et, je commence à la croire.
— Tu pourrais trouver un meurtrier gentil : tu es bourrée.
— Pourquoi tu n'acceptes pas les compliments ?! Tu m'énerve, soupirais-je en me retournant vers lui.
Il me toisa longuement, sa tête penchée sur la mienne. Je le dévisageais également.
— Pourquoi tu retourne pas au lit avec ta Barbie ? Pourquoi tu reste ici, avec moi ?
— Là, c'est toi qui m'énerve avec ta jalousie, il me taquina.
— Je suis pas jalouse d'elle, arrête, dis-je en le giflant gentiment.
— Soit, il sourit en retenant mon petit poignet dans son énorme main.
— Kendall a dit des trucs bizarres tout à l'heure.
— Comme quoi ? demanda Zayn qui avait reprit son sérieux.
— Elle se demandait pourquoi tu est devenue comme ça et elle a dit qu'elle aimerait que tout soit comme quand elles étaient là.
Il plaça ses coudes sur ses genoux et soupira.
— Tu-Tu vois de quoi elle parle ?
— Je n'ai aucune envie d'en parler et, surtout pas avec toi, il répondit sèchement.
— Oh non ! Ne redeviens pas El Diablo, boudais-je en le poussant sur le lit. Je peux te changer les idées, ajoutais-je en me mettant au dessus de lui.