Le 15 avril 1912 , Le Titanic sombre ....
Beaucoup de dégâts , mais surtout beaucoup de morts .
Imaginez-vous une seule seconde a la place des victimes passagers de ce bateau ne rêvant que d'arriver en Amérique .....
Imaginez-vous ....?
100 années...
Jack sur la chaise, hurla de peur "April" au visage de Darrington. Il était là sur la chaise, affaibli par ce qu'il venait de faire comme sorte de cauchemar "électrique". Darrington lui dit alors :
"Elle te manque hein ?"
"Où est April ?!"
"Elle ne reviendra plus jamais te chercher Jack. Bon début de vie au sein de l'établissement de recherches, tu vas faire prospérer notre laboratoire Jack. N'est-ce pas magnifique ?"
"La seule et unique chose magnifique, ce n'est pas d'être ici, monsieur, mais d'avoir la plus belle personne que L'on connaisse à ses côtés. L'on peut être nulle part, monsieur, tant que nous sommes à ses côtés, plus rien d'autre ne compte que cette unique personne"
"Ah quel beau parleur vous faites Jack. Malheureusement, je dois vous avouer que ces belles paroles ne se réaliseront pas. Car vous ne reverrez plus jamais April."
"Ne vous en faites pas pour elle Darrington. Elle a beaucoup plus d'intelligence que le Salop que j'ai devant moi et qui n'est même pas capable avec une brique de vingt policiers, de m'attraper."
"Assez !!"
Hurla Darrington frappant de ses deux poings sur la table. Jack reprit alors d'un ton plus dec et plus vif cette fois-ci.
"Vous voulez jouer au jeu du chat et de la souris Darrington ? On va jouer."
"La ferme !! Taisez moi ce con !!"
Hurla Darrington à ses assistants qui entrèrent alors dans la pièce et qui donnèrent une grande décharge de teaser à Jack. Il s'évanouit à terre encore conscient. Darrington le souleva alors de ses gros bras et lui dit :
"Faites attention à la marche en sortant, Dawson. Allez sortez-le moi de la !"
Finit-il par ordonner aux chercheurs. Ils l'embarquèrent alors avec eux, et, le mirent en cellule. Jack se tut durant des heures, voir même presque un jour entier de repos en cellule. Puis, à la fin de cette journée, au soir, Jack commença à parler seul ou plutôt chantonner ceci :
"Count every leaf on a willow tree Count every wave on a stormy sea Count every star and darling when you do You'll know the times I have cried for you"
Une chanson bien connue n'étant pas de son époque ni de celle d'aujourd'hui mais qu'il avait entendu dans un vieux bar, avec April. C'était celle des Ravens. La fameuse musique "Count every Stars." Mais il se la récitait, la chantonnant comme pour combler le vide et le grand silence de cette pièce. Un garde de prison lui apporta son repas. Cette fois mieux garni, bien que pas très appétissant. Jack dévora tout à grandes bouchées. N'ayant pas bien mangé depuis des jours. Il se coucha la conscience tranquille, continuant à chanter cette fameuse musique cette fois en entier...s'endormit laissant réciter les Ravens cette musique dans sa tête.
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Le matin se leva. April se réveilla dans une cellule et perçut un repas à côté d'elle. Elle le repoussa de sa main, et, soupira. Elle pensait à Jack, et ne pouvait se défaire de ses pensées Si agréables. Elle s'allonge à à nouveau sur son lit de cellule où elle venait de se réveiller et se lit à à chantonner ses mots.
"Count every star in the midnight sky Count every rose, every firefly For that's how many times I miss you Heaven knows I miss you
Count every leaf on a willow tree Count every wave on a stormy sea Count every star and darling when you do You'll know the times I have cried for you"
C'était la musique des Ravens que Jack s'était chanté la veille pour s'endormir. Apres ce chantonnement, April se leva, et, prit une décision radicale. Elle commença à ranger toutes sers affaires éparpillées dans la cellule, et, vint à la porte appeler un garde qui vont aussitôt. Elle lui dit hurlant :
"Ahhh ! Monsieur ! Au secours ! Je ne sens plus mes jambes ! S'il-vous-plait aidez-moi !! Au secours !"
Puis elle tomba à terre. Le garde ouvrir la porte, et, découvrit la jeune femme à terre presque agonisante.
"Oh mon dieu mademoiselle ! Je vais appeler nos médecins de cellule !!"
"Non ! Non je vous prie ! Extirpez moi de la ! Je ne vois plus rien ! Aidez-moi à me lever !"
"Bien ! Bien je vous aide.."
Le garde la saisit par les bras, et l'aida à se relever. April hurlait. Mais, une fois debout, elle frappa l'homme au visage et lui dit ces mots :
"J'en ai assez d'être bien élevée !"
Elle se mit à courir à travers l'hôpital psychiatrique, et réussit a en sortir en courant de toutes ses forces se cachant parfois apercevant des médecins ou employés de cet hôpital de fous. Une fois sortit, ayant oublié sa valise mais peu lui importait, elle prit le premier train qu'elle aperçut de cachant derrière un journal et un chapeau de peur de se faire reconnaître. Le train démarra. Elle descendit deux arrêt plus tard, et arriva devant le laboratoire de chercheurs.
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Jack endormit apercevait April dans ses rêves et au plus profond de son esprit chaque seconde et chaque minutes qui passait en était fournie.
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Il s'apercevait à chaque instant avec elle, enlacé dans ses bras. L'embrassant tendrement.
Leur relation était comme une fenêtre panoramique. Car chacun semblait s'apercevoir dans ses pensées à travers une fenêtre qui pourrait être source d'une camera. Mais panoramique. Qui donnerait alors sur un grand espace laissant apparaître l'être chère que l'on ne peut oublier. C'était une fenêtre panoramique interminable : Si grande et si vaste car elle faisait apparaître tant de souvenirs...
Jack perçut un son, qui devint plus claire et il perçut cette phrase :
