Fanfiction de code lyoko

Tome 1-Chapitre 36 :

Hello les gens,  j'espère que vous allez bien, merci pour tous ses vues et merci à Lenaick723 et à la chroniquedemael d'avoir commenté le chapitre précédent. Je croyais avoir le moral à 0 aujourd'hui mais non☺! Pour, comme je vous le dis le tome 1 touche à sa fin mais je ne sais pas exactement quand ça va se finir ( je sais c'est malin bref... passons ), même je pense que celui là ça va être l'avant dernier ( oui bon, me disputer pas si j'ai fais un mauvais pronostique s'il-vous-plais ! ).

________________________

Point De Vue d'Ulrich :

Avec les autres, on ne bougeait pas d'un pouce, c'était limite si on osait respirer. Les scientifiques étaient menaçants, ils tenaient des barres de fer. Il y en avait deux en face de nous, trois du couloir d'où venait Jérémy et son groupe et trois autres de l'autre côté. On était pris au piège...

Je me demandais si Yumi et les autres avaient réussi à libérer la mère d'Aelita et à en sortir. Je pense que j'allais bientôt avoir la réponse, quant à nous, je ne pensais pas qu'on allait en ressortir rapidement. C'est là que je vis, en face de nous, au loin le dernier groupe qui marchait délicatement pour ne pas faire trop de bruit. Il y avait une adulte avec eut, elle ressemblait beaucoup à Aelita, c'était sa mère. Odd se mit le doigt devant la bouche pour nous faire signe de ne rien dire ou de ne pas les faire remarquer. Je clignai des yeux pour lui affirmer que j'avais compris. Je savais qu'il avait compris, je le connaissais bien Odd.

Point De Vue d'Aelita :

Odd et Ulrich communiquaient, enfin... Échangeaient des choses, je ne comprenais pas comment ils procédaient, mais ils le faisaient.

—Qu'allons-nous faire ? chuchotais-je pour leur montrer qu'il fallait faire le moins de bruit possible.

— Bonne question, parce qu'il y en a de tous les côtés ! continua Odd.

— Comment sais-tu ça ? demandais-je.

— Ça doit être Ulrich qui lui a dit par la voix de la pensée, se moqua Yumi.

Odd lui lança un regard noir avant de répondre :

— Non, c'est juste que s'il y avait un côté de libre ils ne seraient pas ici, ils seraient en train de courir !

— C'est vrai, qu'est-ce qu'on fait ? répétai-je.

— Bin... Je peux très bien assommer tout le monde avec la casserole mais je pense être neutralisé avant d'avoir pu assommer tout le monde ! dit Odd avec du sérieux même si c'était ironique.

— Diversion, finis-je par dire.

— Quoi ! dirent les autres à l'unisson.

— On se fait remarquer et on attend de se faire courser, il y aura forcément un passage pour les autres, expliqua Aelita.

— Mais oui tu as raison, Aelita tu es plus que géniale ! s'exclama Odd.

La jeune fille rougit au compliment.

— Prête ? demanda Aelita à sa mère.

Sa mère hocha la tête, prête à courir. Odd lança un regard à Ulrich avant de hurler avec Aelita :

— Hé ho les scientifiques nous on est là !

Ceux qui étaient dos à nous se retournèrent avant de nous courser comme prévu. Puis, on se sépara, moi, Odd et ma mère d'un côté, Yumi et Anita d'un autre. Plus de scientifiques essayaient de nous rattraper. Ma mère nous devançait, sans doute par l'espoir de s'échapper enfin de cette prison après tant d'années.