Enfants disparus (partie 1)

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C'était cette année, en 2005, que Joséphine fut porté disparue. C'était un jour sombre et pluvieux. Sa mère, Catherine, lui avait interdit de sortir de la maison car plusieurs enfants avaient disparu depuis quelques semaines. La mère ne voulait pas partir de la maison car elle y était resté toute sa vie et ne savait pas où aller. Derrière la porte-fenêtre, la jeune fille de 8 ans aperçus une silhouette. C'était un petit chat roux adorable. Joséphine, petite et naïve, ouvra la porte-fenêtre pour caresser le chaton. C'est à ce moment que Joséphine se prit un énorme coup sur la tête, ce qui l'assomma. Pendant ce temps, Catherine cuisinais en sifflotant sans se douter de ce qui venait de se passer :

« Joséphine, à table !, cria-t-elle. »

Aucune réponse.

« Joséphine c'est pas le moment de jouer à cache-cache ! »

Le père de la petite fille était parti en voyage d'affaire pour quelques semaines. La mère était donc seule pour s'occuper de l'enfant.

Catherine commença à paniquer lorsque  qu'elle fouilla toute la maison sans trouver trace de Joséphine. Elle trouva un papier chiffonné sur la table de la salle à manger, en face de la porte-fenêtre où Joséphine avait disparue. Il y était écrit :

Passe les 2 épreuves et tu la retrouveras.

Elle était prête à tout pour récupérée sa fille. Sur le verso de la feuille, il était écrit la première épreuve :

Es-tu prête à sacrifier quelque chose ? Coupe-toi un doigt, filme toi et pose la carte mémoire de l'appareil photo sur le bas de la porte. N'essaie pas de m'espionner, tu n'y arriveras pas. Demain, il y aura quelque chose au pied de la porte.

  Tremblante, Catherine ne croyais pas ce qu'elle venait de lire, elle ne voulait pas faire cette chose horrible mais elle le devait pour retrouver sa fille. Elle prit un grand couteau, son caméscope et attendit quelque instant, assise sur une chaise le couteau a la main droite et le caméscope à l'autre. Elle brandit le couteau, posa la caméra en train de filmer et frappa la lame du couteau sur son doigt. Le doigt saignait énormément et n'était pas complètement séparer de la main.Elle criait et souffrait terriblement. Elle abattit la lame une deuxième fois sur son doigt, cette fois, le doigt inerte jonchait sur la table rouge écarlate. Elle avait prévu un bandage et du désinfectant. Elle versa du désinfectant sur le bandage et le pressa sur le moignon ensanglanté. La douleur était encore plus vive et la mère cria pus fort encore. Maintenant, Catherine était encore plus déterminé à retrouver le fou qui avait kidnappé sa fille.  

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