Chapitre 2

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La nouvelle annoncée la veille m'avait totalement bouleversée. Cette nuit j'avais eu du mal à trouver le sommeil. Aujourd'hui était notre jour de repos du faite que la soirée se déroulait ce soir. Je n'avais rien à me mettre et surtout je m'étais faite à l'idée de finir mes jours seule. Maintenant, je suis obligé de jouer les parfaite mère au foyer. Je retrouva ma mère dans ce qui nous servait de salon.

Elle me demanda :

« Alors, la nuit a était courte? »

Je resta abasourdi, c'était tous. J'allais être forcée de vivre avec une personne que je ne connaissait pas et la seule chose qu'elle m'ait dite c'est un « la nuit a était courte ? ». Pour l'instant c'était bien le dernier de mes soucis.

Je lui répondis donc :

« Pour être honnête je me moque bien du manque de sommeil, je réfléchis à un moyen d'éviter la soirée de ce soir et par la même occasion éviter ce mariage ridicule. »

Elle ne dit rien et poursuivit son déjeuner comme si de rien était. Excéder, je lui demanda :

« ça ne te choque pas de savoir que ta fille à peine âgé de 18 ans va être présenté comme un objet »

Elle prit une inspiration puis me dit :

« Ce n'est pas comme tu le décris c'est simplement un bal comme au bon vieux temps, tu vas rencontrer des gens de ton âge et puis ce n'est pas aussi horrible que ça le mariage. En plus cela permettra de réduire le nombre d'habitation car nombreux sont ceux qui sont orphelin. »

Je la regarde attentivement puis lance :

« Qui êtes-vous et qu'avait vous fait de ma maman ? »

Elle rit doucement puis m'explique :

« ça n'a pas était une décisions prise à la légère. Il est vraie qu'au début, lorsque que le conseil nous en a parler, j'étais un peu septique à cette idée mais finalement la majorité des parents ont accepté la nouvelle. »

Je resta médusé pendant qu'elle rangea son petit-déjeuner mais je l'interpella avant qu'elle ne quitte la tente :

« Tu veux dire que tu étais au courant et que tu ne m'as rien dit ? Je ne suis pas prête pour cette vie. Je suis une solitaire, je n'ai jamais vraiment réussis à m'intégrer. Je ne suis pas le genre de personne qui se marie et a des enfants. Comment as-tu pu penser que ce genre de vie ma conviendrait. Et puis les mariages arrangées c'est démodées. »

Je ne lui laissa pas le temps de compléter ma remarque, je partis aussi vite que possible. Dans ma précipitation je rentra en collision avec Le garçon, celui dont j'avais croisée le regard lors de l'annonce. Il me paraissait tellement grand. Il faut dire qu'avec mon 1m54 tous le monde me paraissait grand. Il m'aida à me relever et me scruta de façon peu discrète. Intimidé, je n'osa pas le regarder dans les yeux. Il les avaient d'un tel vert que j'aurais pu me perdre dedans.Il me demanda : « Nous nous sommes déjà vu n'est-ce pas, votre visage m'est familier ? »

De plus en plus rouge pivoine je répondis en bafouillant :

« Je crois que l'ont c'est vu quelques fois au campement rien de plus. »

Je venais de mentir à ce pauvre garçon car j'avais trop honte de lui dire que je l'ai surveiller toute une nuit lorsqu'il était patient à l'hôpital où j'aidais ma mère. Je suis certainement la reine du ridicule mais plus encore que je ne le pensais. Je ne savais pas trop comment me comporté avec les autres et tous ceci me rendait nerveuse.

Je dégagea mon bras et partit rejoindre Louisa qui avait sa « maison »pas très loin.

Quand j'arrivai chez elle, elle et Anna ce préparer pour la petite fiesta de ce soir. Elles étaient sublime. Elles me demandèrent se qui m'arrivaient, c'est alors que je leur expliqua que je ne voulais pas aller à cette soirée débile. Leur réponse fut immédiate :

« Viens par là, il est tant que tu découvre la vraie fille qui se cache derrière des vêtement de garçon et des lunettes trop grande pour toi. Ce soir, c'est ta soirée. ».


Je passa l'après-midi auprès d'elle, me conseillant certains style vestimentaire, ou encore qu'elle coiffure me conviendrait le mieux.Elles avaient l'air tellement satisfaite de se marier. Comme si le conseil leur enlever une épine du pied. Après des heures de relooking, une nouvelle coiffure, une robe prêter par Anna et un maquillage offert par Louisa je n'arrivais plus à me reconnaître dans le miroir.

Louisa me chuchota à l'oreille :

« Enfin,la fête peut commencer. »


















Il était une HistoireWhere stories live. Discover now