Chapitre 14

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Je dédicace ce chapitre à ma petite sœur qui passe ses oraux de langues  vivantes la semaine prochaine :D



POV Avril

Je fus réveiller par le martèlement des sabots sur une route pavés dans un village abandonnée. Il n'y a rien de pire que de se sentir aussi insignifiante qu'une plume. Mise en travers du cheval, placé comme une criminel. Léopold, lui, monté fièrement sa monture comme un roi qui rentre d'une quelconque victoire. Rien ne m'est plus insupportable que de voir l'injustice aussi flagrante que celle dont je suis victime. J'essaye de dégager les mains qui son liées par une épaisse corde qui me coupe presque la circulation. Léopold attiré par le mouvement me sourit d'une façon tellement cruelle que j'en eu presque des frissons de peur.

Nous nous arrêtions une fois arrivé vers ce qui fut autrefois une auberge. J'ai des courbatures mais le pire pour l'instant c'est d'essayer de calmer mes nausées. Mon ventre réclamer à manger mais j'avais trop de fierté pour lui en réclamer. Ce dernier se prélasser juste à cotés de moi en mangeant une sorte de brioche à l'odeur plus qu'alléchante.J'étais en colère, tellement bien que j'aurais pu commettre un meurtre. Mais la fatigue me rattrapais, j'avais du mal à bouger ou même à penser. J'étais comme vidée de toute énergie. J'étais terrifiée à l'idée que Ambroise puisse pensée que je l'ai laissée tomber, comme abandonner. Je n'avais aucun moyen de me défendre.J'étais tellement impuissante face a ce qui se passer que j'en étais malade. La nausée me prit de nouveau. Je ne pus me retenir de régurgité le peu de chose qui me rester dans mon estomac. Rien n'était plus humiliant que d'être attaché comme un chien, de  sentir les effluves d'un bon repas et de se vomir déçu. Mais le pire se fut le rire rocailleux de mon geôlier. J'aurais tellement aimé pleurer mais le peu de fierté qui me rester me le déconseilla.De plus cela n'arrangerais pas mon cas. Je me demandais où était Ambroise, est-il aller à son travail se matin comme si je n'avais existé ou pire avait-il au moins fait attention à ma disparition,c'en est-il rendu compte ?


J'étais triste, seule et je comprenais enfin que mes derniers heure arrivé. Pourtant, mes poils de mon bras se sont hérisser. Je sentais que quelques choses se préparer mais j'étais dans l'impossibilité de mettre des mots sur se que je ressentais. La peur mais également un mélange d'appréhension. Puis sans comprendre d'où cela provenait, un cor retentit au loin. Léopold qui avait perdu son sourire triomphant portait maintenant un masque de terreur. Inquiet, il nous fit sortir de l'auberge qui nous servaient de refuge.

La pluie se joignit à nous la terre se transforma en boue se qui rendit notre avancée difficile. Au loin, j'aperçus des torches allumées qui se rapprochait de notre position. Avec le peu de force qui me restait je me dégageais et je courus dans leur direction en espérant que ces personnes seraient plus amicale que Léopold. Ma tentative d'échapper à mon ravisseur se solda par un échec et très vite il me rattrapa et je redevins sa prisonnière. Il me balança sur le cheval mais j'entendis des échanges de coup de feu. Les bruits de pas dans la boue me fit me retourner.


Ambroise se tenait devant moi avec un pistolet dans les mains. Il menaçait Léopold et à coté de se dernier se trouvé un calibre 22. Ambroise avait désarmée Léopold mais il continuait de le pointé avec son arme. Léopold avait dans les yeux cette peur que j'avais éprouvé quelques instants plutôt. La pluie m'empêchait de voire correctement mais la rage d'Ambroise était palpable.


Je descendit maladroitement du cheval et je m'approcha d'Ambroise, je voulais le sentir contre moi. Le toucher comme pour m'assurer qu'il était bien réel. Mais Leopold gâcha se moment et dit :

« Ne me tue pas, je peut t'être utile. Je te raconterais tous se que je sais mais jet'en prie ne me tue pas. »


Cela sembla réactiver la colère de Ambroise qui c'était rapproché de Léopold tout en s'éloignant de moi. Je comprit que je devais intervenir, même si je détestais Léopold, je ne laisserais pas Ambroise devenir un meutrier. Alors je lui dit :

« S'il te plaît Ambroise, ne fais pas ça. Tu sais que ce n'est pas bien. Je ne  peux pas te laissais devenir un meurtrier. S'il te plaît laisse pas ta colère prendre le dessus. Il payeras pour ces crimes mais c'est a un juge de décidé. »


Mon petit discours eu l'effet es-conter car il sembla baissé son arme mais Léopold se lança sur son arme a terre. Je ferma les yeux j'entendis un coup de feu, des cries, surement les miens mais le son me provenait de tellement loin. Et il s'en suivit d'un silence long et pesant comme si tout être vivant avait quitté le village comme si la mort planait au dessus de nous. Puis je tomba dans les pommes.

Il était une HistoireOù les histoires vivent. Découvrez maintenant