JULIAN

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La garce !

Je suis persuadé que sa robe a rejoint mes fringues.

La vague impression qu'elle me punit alors que je ne lui ai même pas encore mis la main au cul, me fait sourire.

Si j'avais su...

À cet instant, impossible de ne pas m'imaginer prendre possession de ce petit dessert qui m'appelle.

De mes mains, je viendrai me blottir avec fougue sur ses courbes aux virages incessants, pendant que de mes dents, je lui déchirerai l'inutile. Ainsi, j'aurai un total accès à sa grotte que je prendrai plaisir à élargir avec de vaillants coups de boutoir.Ma bouche, quant à elle, s'occuperai dans un même temps de ses deux montagnes voluptueuses à souhait. Je lécherai, mordillerai, titillerai ses petits boutons roses jusqu'à ce que ça en devienne douloureux, je...

Je vais la tuer ! C'est une vraie torture. Elle est pratiquement à poil, et je ne peux rien faire.

À part continuer à bander.

— Sadique, je lâche d'un ton suave.

Étonnamment pas de pique en retour. Ce qui n'est pas pour me rassurer.

— Merde, je halète alors que ses doigts et son bout rose ne font plus qu'un, en partant à la rencontre de ma plastique tendue à l'extrême.

Elle va me rendre fou.

Sa langue invasive et coquine se met à tracer un sillon ininterrompu de mon bas-ventre à mes pectoraux, pendant que ses mains expertes, elles, malaxent l'intérieur de mes cuisses, tout en prenant soin d' éviter soigneusement la zone volcanique située dans mon calbut. .

ça y est, je suis foutu.

Quand son serpent rose humide trouve pour refuge la base mon cou, je perds toute notion de temps et d'espace.

C'est bon...

Encore meilleur lorsqu'elle alterne suçotements et petites morsures.

La chaleur de sa bouche contre mon épiderme brûlant est juste exquise.

Une sensation enivrante que je n'avais pas ressentie depuis une éternité.

Malgré le désir évident qui m'étouffe, je ne peux me résoudre à étaler l'havre de paix qui soudain me prend aux tripes.

— Tu vas me tuer, chérie. j'avoue à brûle pourpoint.

Je veux qu'elle vienne se frotter à ma queue, je veux que son foutu bassin ondule d'avant en arrière, pour me soulager.

Mais elle ne semble pas du même avis.

Sadique ! Sadique ! Sadique!

— Tu es tellement réactif. Et j'aime ça. J'aime te voir lâcher prise Julian.

Rien qu'avec les notes légères de sa voix empreint de gausserie, je suis certain que j'arriverai à jouir.

Comment c'est possible ça?!

Quand ses doigts froids en contraste avec ma peau bouillante se glissent dans le seul bout de tissu qui me reste, je remercie aussitôt le ciel d'avoir cédé à ma demande.

Ses phalanges agrippées à l'étendue de ma queue royale, je m'étonne de la maladresse de ses gestes. Elle semble ne pas oser vouloir égorger Junior.

Pourtant, lui, ne réclame que ça.

À l'opposé, mon gland lui, bénéficie d'un pouce humide plein d'entrain. Quand je m'apprête à lui demander de cajoler la longueur de ma tige sans cesser de s'occuper de ma tête rose, elle me scie littéralement en alternant pression et relâchement d'une façon tellement déconcertante, que le foutu gémissement bruyant qui passe la barrière de mes lèvres me prend au dépourvu.

Au-Delà Des ApparencesOù les histoires vivent. Découvrez maintenant