Chapitre 3

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On est restés toute la nuit à la regarder et être à ses côtés même Guichet n'est pas rentré chez elle n'y aller dormir. Bon ma sœur elle est aller jouer ce qui se comprends. Aujourd'hui on est dimanche.

Josiane nous a ramené de quoi boire. En plus j'avais très soif vu que j'ai arrêté mon traîtements et j'avais peur de mordre la prof.

Le téléphone sonne. Josiane va décrocher puis m'appelle. Je prends le téléphone puis dis :

"Oui ?

- Anastasia c'est moi la maman à Léa.

- Ah .. oui ?

- Comment va ma fille ? Je m'inquiète.

- Je comprends. Écoutez elle va sûrement s'en sortir mais dès qu'elle va bien et qu'elle revient à elle je vous appel. D'accord ?

- D'accord. Merci.

- Ne vous inquiètez pas on prends soin d'elle.

- Merci

- Je vous en pris. En revoir."

Je les regardes tous puis leurs dit.

"J'espère qu'elle va vite se réveiller. Papa tu pense qui faudra dire la vérité à sa mère ?

- Je ne sais pas ma petite lune. Sa mère doute peut-être de quelque chose."

Ça m'aidais pas trop. Par contre ce qui allais être plus simple avec Léa c'est qu'elle connait limite mieux que moi la vie de Vampire. Faudra quand même que je l'amène chez notre espèce et que je l'aide à se métriser niveau boissons. D'ailleurs je sais pas si elle va vouloir prendre les traîtements ou pas. On verras quand elle se réveillera.

On a passer tout le dimanche à surveiller Léa, à regarder la télé, on a parler, manger ou plutôt grinioter, boire et autre.

Je décide de parler en privé à Guichet je lui demande de venir dans ma chambre pour être sûr que personne ne nous entend vu que se sont tous des vampires. Je l'a fait rentré. Elle regarde mon cerceuil un peu terrifiée même si elle la déjà vu. Je l'invite à s'assoier sur mon canapé.

"Comment va votre poignet ?

- Ça va. On voit encore les deux trous.

- Ils vont disparaîtrent ne vous inquièter pas mais il ne faut que personne ne les vois.

- Je sais, je ne suis pas une enfant Lewis !

- Je sais désolé. Dis je en soupirant.

Elle me touche le bras puis fait glisser sa main jusqu'àma main, avec son autre main elle me lève la tête, me regarde et me dis :

- Vous êtes sur que ça va Lewis ?

- Je ne voulais pas de cette vie pour Léa enfin en tout cas pas tout de suite. Je voulais qu'elle vive sa jeunesse et sa vie de mortels plus longtemps. Le point positif c'est qu'elle sors avec mon frère donc elle n'aura pas à lui cacher sa vrai nature et un jour lui avouer qu'elle ne peut pas vieillir avec lui.

- Je comprends, c'est sur qu'elle à de la chance sur ce coup, si on peut dire ça.

- Et même j'aurais aussi voulu que se soit mon frère ou moi qu'il la mordons. En plus nous on aurais pas été violent et affamés. Je n'ai même pas abîmé autant le cou de Lenova.

- C'était un mauvais votre cousin?

- Oui on peut dire, il n'était pas bien aimé. Bon après il y a pleins d'avantage à être un Vampire et pas beaucoup d'inconvénients mais même.

- Ça va aller et je vous aiderait si vous voulez. Me dit elle en me serrant la main.

- Merci. Je ne pensais pas que ma bêtise se serait transformée en bon rapport. Dis je en parlant de se que je lui avais fait.

- Je ne pensais pas que j'allais avoir des lien avec un élève et encore moin... .

- Moin quoi ? Une relation plus plus !

- qu'est ce que vous racontez Lewis ! Je voulais dire encore moin un élève vampire ou même un vampire tout court."

On rigole vite fait puis on redescends.
Léa n'a pas bougé.

Le soir Mick et Catrina sont partis car demain on était lundi mais il nous ont dit qu'ils revenaient demain soir. Elle Guichet à fait de même en priant que tous se passe bien.
Moi j'avais besoin de prendre l'air. Je confis donc Léa à Arthur et mes parents.
Je sors.

Je vois deux ados discuter. Les deux filles me regardent et parle surment de moi. Je m'approche donc d'elles sans vitesse de Vampire et dit :

"Qu'est ce que vous avez petites gamines ?

- Euh, c'est une blague ? Dit l'une.

- Non c'est une question. Dis je.

- Attend je m'en occupe. Dis l'autre.

- ... .

- Euh pourquoi tu viens nous parler enfaite cachet d'aspirine ?

- Parce que vous parlez de moi. Et les cachets d'aspirine ne sont pas pâle.

- Ah oui excuse zombie.

- Je t'excuse petite peste.

- Arrête d'essayer de te la péter ! Tu as a peut être 17 ou 18 je ne sais pas et nous 15 mais je m'en fou nous au moin on ressembles pas à ... À un Vampire !

- Comment tu as a deviné ? Dis je sur un ton maquiavélique.

- Quoi ? Dit elle en regardant sa pote.

- Comment ta deviner que j'étais un Vampire ? Tu est trop forte !

- Elle rigole ! Dis la première.

- Ba pas moi. Et je n'avais pas prévu de tuer ce soir mais bon j'ai changé d'avis.

- Pffff mais n'importe quoi la meuf ! Retourne chez toi ! Me répond la deuxième.

Je prend la première par le col elle crie et la peste commence à paniquer et dis :

- Ok waw tu as a de la force super. Sur un ton ironique.

- Non j'ai faim."

Là mes yeux deviennent rouge en même temps que je sors mes canines. Elles se mettent à me regarder bizarrement puis je croque dans le cou de cette dernière et la savoure jusqu'à la fin. J'aime beaucoup son sang. L'autre, la peste est terrifiée et ne dis plus rien. Elle voit sa pote tomber au sol, inconciente ou plutôt morte, le cou déchicter. Elle commence à partir en courant je la rattrape puis lui fait subir le même sors mais en plus violent.
Ce n'était pas prévu mais cela fait du bien.
Je continue ma route puis décide d'aller voir quelqu'un.

Secret.V .3Où les histoires vivent. Découvrez maintenant