Alice Nevers - Saison 16 : Enquête de vérité

Enquête de vérité : Chapitre 8

Dans sa cellule, Léa ignorait encore dans quel état était Marquand depuis qu'il avait appris la manigance de cette dernière. Du coté de Marseille, Lemonnier attendait avec impatience l'arrivée d'Alice. Mais il faut dire qu'ils ne s'étaient plus vus depuis l'affaire de son neveu accusé à tort dans « Les Dessous Du Palais ''. Après plus de 3 heures de route, Marquand, Alice et les enfants arrivaient enfin à destination. Ils se dirigèrent vers la maison de Lemonnier. Mais entretemps Victor avais sonné à son oncle pour le prévenir des derniers nouvelles et des dernière infos...

Victor : Allo mon oncle.

Edouard : Ah mon neveu, comment ça va à Paris ?

Victor : A vrai dire, les dernières nouvelles ne sont pas très bonnes... et il commença à lui résumer la situation de A à Z. Lemonnier n'en revenait pas...

Edouard : C'est vraiment une garce cette Léa. Elle prête à tout pour gâcher le bonheur de mon couple adoré... Mais comment ils ont réagi au moment où le maire a annoncé qu'il était déjà marié avec l'autre.

Victor : Ne t'en fais pas, cette Léa est en prison maintenant. Très mal, ils ont pris la décision de s'enfuir. Mais maintenant nos héros sont en cavale. Euh, je veux dire au vert pour faire croire à tout le monde qu'ils sont en cavale à cause de Léa sauf pour nous.

Edouard : Qui vous ?

Victor : L'adjoint de Marquand, l'assistante sociale, le procureur de la république et moi. Je t'ai fait parvenir tous les infos sur Léa par fax... C'est le collègue de Marquand qui me les a données pour te remettre si jamais tu as des nouvelles de Marquand et Alice...

Edouard : Je ferais le nécessaire si je les vois... il sait très que le couple arrive dans la journée. Mais il ne dirait rien pour le moment... Ne t'en fais pas Victor, si j'ai des nouvelles je te tiendrai au courant.

Victor : Merci mon oncle. Désolé de se parler dans des circonstances assez étranges.

Édouard : Ce n'est pas grave Victor, il est vrai que je ne donne pas beaucoup de mes nouvelles non plus. Bon, je vais devoir te laisser. Theo m'attend pour aller faire des courses pour son camp d'été. N'hésite pas de me téléphoner.

Victor : Il n'y a pas de problème. Je te dis à bientôt et embrasse Theo de ma part.

Édouard : Je ne lui manquerai pas de lui dire. A bientôt.

Il raccroche. Plus d'une heure après l'appel de Victor, Marquand et la petite troupe arrive enfin à Marseille. Ils se dirigent vers la direction de la maison d'Edouard.

Édouard : Ah Madame le juge, quel plaisir de vous voir. J'aurais mieux préféré dans des circonstances plus agréables.

Alice : Autant pour moi, désolée de débarquer ainsi... Mais c'est Paul qui l'a proposé...

Edouard : Ne vous en faites pas. J'ai tout préparé pour vous accueillir après votre appel. Mais j'ai eu aussi Victor plus tôt dans la journée... Il m'a tout expliqué en détail vos galères.

Marquand : Vous n'avez rien dit de notre visite...

Edouard : Ah ! Marquand, vous n'avez pas vraiment changé... De plus un grand-père ça vous va très bien... Non, je n'ai rien dit tant que vous ne me dites pas...

Marquand : Merci pour le grand-père, je vois que vous êtes au courant de tout depuis que vous avez quitté Paris...Je vous présente Ada notre fille...

Edouard : Enchanté Ada.

Ada : Enchantée monsieur...

Edouard : Ah non pas monsieur. Mais Edouard ça serai mieux

Ada : Très bien Edouard... Dis Alice, c'est lui que tu m'avais parlé c'est bien l'oncle de ton greffier Victor...

Alice : Oui, c'est bien lui. J'ai travaillé avec lui bien longtemps avant que Fred arrive à la PJ...