Alice Nevers - Saison 16 : Enquête de vérité

Enquête de vérité : Chapitre 20

Djibril regardait Victor qui trépignait sur place : M'enfin on dirait un enfant. Victor, tu as quel âge.

Victor : Je sais. Mais c'est plus fort que moi. Ça fait quand-même un mois que je l'ai plus vue. Malgré les nombreux messages que vous avez reçus et que vous m'avez communiqués, Alice m'a bien manqué. Je la considère comme une sœur.

Djibril : Je comprends mieux cette complicité entre vous deux... Mais attendez, j'entends l'annonce d'un TGV en provenance de Marseille. Je pense que c'est eux.

Victor : J'espère qu'ils auront eu cette Léa.

Djibril : A priori oui. J'ai reçu un message du commandant comme quoi la police de Marseille a rempli sa mission et ils vont la remballer sur bonne escorte et bien surveiller pour qu'elle ne puisse pas s'enfuir une nouvelle fois.

Pendant que la discussion entre Victor et Djibril se poursuit, le TGV rentre en gare de Lyon. Ils n'imaginent pas qu'ils allaient rencontrer le vrai cousin de Léa. Quant à Léa, elle était reconduite à Lyon où un fourgon bien sécurisé l'attendait. Après que la police de Marseille ait transféré la coupable à leur confrère de Paris et en route vers Paris. Le trajet va durer environ 4 h 20 et ils arriveront dans la soirée. Pendant ce temps-là, toute la fine équipe sort du train et aperçoit que Djibril et Victor sont les seuls à les attendre.

Fred : alors là quel accueil. Il n'y a que vous.

Djibril : le divisionnaire a décidé de retourner à la PJ pour vous préparer un pot de retour.

Alice : C'est gentil de sa part. Mais je pense que ce serait mieux qu'on aille à l'appart pour déposer les bagages et appeler la nounou pour les enfants.

Djibril : Très bien, Victor et moi-même, nous retournons vers la PJ pour prévenir. Nous avons conduit votre voiture au parking de la gare. A plus tard.

Fred : il est quand même très bon Djibril.

Alice : Je te l'avais toujours dit. Il est un peu gauche dans sa nature. Mais c'est un très bon lieutenant et tu peux compter sur lui.

Fred : C'est bien vrai. Tu as raison. Attends je viens de recevoir un SMS pour nous prévenir que le convoi où est Delcourt va bientôt arriver sur Paris. Nous avons le temps de nous préparer avant de retourner au bureau et rejoindre l'équipe.

Pendant que la petite famille arrive à l'appart, Léa était occupée à réfléchir comment elle va semer les policiers avant son arrivée sur Paris. Mais malchance pour elle, le service spécial avait tout prévu pour reconduire Léa dans les temps. Après plus de 4 h de trajet, le convoi de Lyon arrive à Paris et se dirige vers les locaux de la PJ où attend l'équipe de Marquand avec Fred et Alice et les deux chefs de service.

Djibril : Je viens de recevoir un SMS du service spécial de Lyon qui arrive dans 10 minutes. Commandant, surtout ne pas vous mettre en colère maintenant. Surtout quand nos chefs sont dans le coin.

Alice : Djibril a raison. Attends qu'ils soient partis. Puis j'ai dit que je ferai l'interrogatoire au début. Si elle essaie de t'embrasser, ça promet une colère.

Fred : Je ne vais pas me laisser faire. De toute façon, elle n'a pas intérêt.

Djibril : Commandant de toute façon, le procureur va d'abord s'entretenir avec elle. Nous devons aller dans notre bureau ça évitera de la croiser.

Alice : Je vais aller voir avec le procureur. Attendez, je pense qu'elle arrive. Elle attrape son commandant et l'embrasse sous les yeux de Léa ébahie. Fred ne demandais son reste.

Fred : Alors là si je m'attendais à ça. Je vais pouvoir attaquer l'interrogatoire plus calme. Mais pourriez-vous m'accorder une faveur madame le juge.

Alice : Lequel commandant. Mais je sais déjà ce que vous allez me demander.