Enquête de vérité : Chapitre 16

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Madame Delcourt : As-tu penses une seule fois à cette jeune fille qui n'a plus de parents. Ce qu'elle a ressenti. Je ne pense pas. Trop égoïste comme ton père.

Léa : Là, tu exagères.

Dans l'autre pièce, Fred et Alice écoutant, n'en revenaient pas de la conversation entre mère et fille. Mais Alice trouvait que la mère se débrouillait très bien sans leur aide et décida de quitter la maison sans bruit pour ne pas lever les soupçons de Léa.

Alice : je n'en reviens pas de ce que j'ai entendu. Elle est vraiment dans le déni complet.

Fred : Il va falloir informer Paris. Mais je pense qu'ils le savent déjà vu qu'elle est surveillée... Mais, je vais quand même leur téléphoner pour en savoir un peu plus. Allo !! Djibril, je te sonne pour en savoir un peu plus. Alors comment ça se passe à Paris.

Djibril : Bonjour commandant, tout se passe bien à Paris. Notre plan a bien fonctionné. J'imagine que vous avez vu Léa chez sa mère.

Fred : Oui et non. Nous l'avons aperçue sans qu'elle nous voie. Mais sa mère se débrouille bien pour la remettre sur le droit chemin. Ce n'est pas une tâche facile pour elle.

Djibril : Donc j'en déduis que la confrontation entre elle et vous ce n'est pas pour tout de suite. Ah oui, j'allais oublier, le chef doit vous parler...

Fred : Ca se fera sur Paris... Ah bon !!!! Mais il ne t'a rien dit.

Djibril : Non, il ne veut parler qu'à vous. Mais il m'a justement dit que c'est important... Bon je vous le passe. Bonne journée.

Fred : Bon très bien Djibril, passe une bonne journée et merci encore.

Djibril passa le téléphone au capitaine de la PJ.

Capitaine de la PJ : Allô Marquand, je ne vais pas aller par quatre chemins. Depuis votre fuite, votre mère a fait un malaise cardiaque ; elle est admise au l'hôpital Pitié Salpêtrière. Elle est aux soins intensifs. Vous devez revenir le plus rapidement que possible.

Fred : Mais pourquoi personne ne m'a pas prévenu plus tôt ?!

Le capitaine de la PJ : Tout simplement, on ne voulait lever de soupçons sur votre localisation à cause de Mademoiselle Delcourt à ce moment-là. Même son chef nous avait déconseillé de vous prévenir.

Fred : Mais vous vous rendez compte que c'est ma mère et je n'ai plus qu'elle qui me reste.

Le capitaine de la PJ : Oui, je sais. Je comprends ce que vous ressentez. Mais dites-vous bien que nous avons tout fait pour la préserver et elle est sous bonne escorte. Mais il y n'a pas que ça.

Fred : Mais quoi encore ?

Le capitaine : le bureau de Madame Bosc a été cambriolé. Beaucoup de dossiers ont disparu. Même le vôtre qui concerne l'adoption de Ada.

Fred (rassuré) : Mais ne vous faites pas le dossier de Ada est sécurité. J'avais pris les devants. Vous me connaissez bien je préfère prendre toutes les mesures de sécurité concernant mon entourage. Ce que nous avons fait Madame Bosc et moi-même avant. Mais je ne dirais pas l'endroit, il vaut mieux.

Le capitaine de la PJ : Je pense aussi. Mais je dois vous dire que Madame Bosc a disparu. Et il serait temps de revenir sur Paris. Car nous avons vraiment besoin de vous... Votre travail à Marseille peut être enfin clôturé...

Fred : Pour l'agent Delcourt... Je vais faire quoi ?

Le capitaine de la PJ : Vous laissez faire nos collègues de Marseille.

Alice Nevers - Saison 16 : Enquête de véritéWhere stories live. Discover now