Amour Defendu - le secret TOME 1

Chapitre 55

Ma nuit n'a pas été reposante du tout. Plusieurs fois, je me suis réveillée en recherchant désespérément les bras de la personne que j'aime sans jamais pouvoir les trouver.

Je me retourne plusieurs fois dans mon lit en essayant de me rendormir. Malgré une fatigue immense je n'y arrive pas. La douleur l'emporte.

Vers 6h30, Arthur m'a écrit en me demandant si j'allais bien. Je ne lui es pas mentis mais je ne lui pas dit à quel point j'avais mal. J'ai aussi omis de lui dire que si j'ai mal c'est parce que mon père n'a surement rien dit à ma mère de ce qu'il à pu lui dire pour mon traitement et que moi il est or de question que je sorte de ma chambre. Je ne veux pas voir mon père et tant pie pour mes douleurs.

On toque à ma porte. Je regarde l'heure pour vérifier que mon père est bien parti pour la chambre des fondateurs. Certaine que sa ne puisse pas être lui, j'autorise la personne à rentrer.

Ma mère entre dans la chambre l'air énervé avec un plateau de nourriture et mes médicaments.

-Jeune fille puis-je savoir pourquoi personne ne ma informé que tu devais prendre des médicaments avant ce matin ? Alors que tu devais en prendre hier soir, me demande-elle en me saluant avec un baisé sur le front

-Arthur la dit à papa et devait te le dire mais il la fait avec un peu de retard

En entendant ma réponse elle lève un de ses sourcils.

-Ton père ne ma rien dit, c'est Arthur qui ma appelé lui même se matin pour m'en informer. Ton père va m'entendre ce soir. C'est une chose que vous vous disputiez mais il est or de question qu'il mette ta santé en jeu

J'aurai du m'en douter qu'il appellerait ma mère pour être sûr que j'aille réellement bien et que quelqu'un prenne soin de moi. Lui, même à distance fait tout pour prendre soin de moi.

-Eh tu sors de tes pensé s'il te plait. J'aimerai savoir comment tu vas ?

-Je dois t'avouer que ce matin j'ai très mal maman, lui répondis-je d'une voix faible

-Oh ma pauvre chérie je m'en veux tellement c'est de ma faute j'aurai du me renseigné moi-même sur ton traitement

-Non maman ne te mes pas la faute sur toi, ce n'est pas le cas

-Bon on va rectifier ça maintenant

Elle me tend un verre d'eau et me donne à la suite les médicaments que je dois prendre. Après ça je prends un petit quelque chose à mangé pour lui faire plaisirs. Le reste de la matinée elle reste à mes côté pour me tenir compagnie. Nous parlons de tout mais pas de lui alors que j'aimerai tellement le dire à ma maman pour qu'elle puisse me conseiller. 

Vers midi elle me demande si j'ai faim mais ce n'est absolument pas le cas. Alors elle ne me force pas et me laisse seul pour que je puisse me reposer.

Toute l'après-midi je me suis occupé à toute sorte de chose sauf à dormir parce que je n'y arrivais pas. 

Dans la soirée on toque à nouveau à ma porte. Cette fois ci sans faire attention à l'heure j'autorise la personne à entrée. A mon plus grand désespoir, je découvre mon père. Je ne suis pas d'accord de lui parler et je lui fais bien comprendre en me tournant de façon à lui tourner le dos.

-Emilie ne fait pas l'enfant et regarde-moi quand je te parle

Sa voix est calme. Il a dû se détendre depuis hier. Aujourd'hui j'entends plus de la tristesse. Toujours en restant sur mes positions, je ne lui répond pas et reste dos à lui. Je sais que je suis entrain de l'énervé mais lui la fait bien avant.  

-Emilie !! Je veux bien prendre des tords sur nos comportement de hier mais tu en as aussi. Tu sais très bien qu'aucune relations n'est tolérer entre Arthur et toi et pourtant je vois bien que tu n'obéis pas. C'est bien pour ça que je t'es faite surveiller ce week-end, pour en être sur. Donc tu ne me laisses pas le choix de te trouver un promis

Il peut me dire ce qu'il veux je ne lui répondrais pas. Même si à ses paroles j'ai énormément de chose à lui dire, je ne lui ferai pas le plaisir de m'engeuler à nouveau avec lui.

Je l'entend souffler derrière moi. Il n'a pas l'habitude que je réagisse comme ça. Normalement je suis quelqu'un qui va toujours parler avec la personne mais je vois bien qu'avec mon père c'est impossible. Alors je préfère opter pour une autre méthode.

-Je t'ai apporté tes médicaments. Ma mère ma spécifier que je devais te les faire prendre. Et je conte bien le faire parce que sinon elle aussi va me faire la tête

Je m'obstine et ne me retourne toujours pas. Je sais qu'il a dû se faire réprimander par ma père pour l'histoire de mon traitement. Même si elle ne lève jamais le ton trop fort car elle n'a pas le droit de le faire elle a ses tactique pour que mon père capitule. Mon père attend quelque minute mais voyant que rien ne se passe il capitule cette fois face à moi :

-Tu contes rester comme ça sans rien dire encore longtemps ?

Il reste toujours sans réponse de ma part.

-Très bien, je vois. Dans ce cas je te laisse tout et reviendrai plus tard voir si tu as bien tout pris

Sans un mot de plus il sors de ma chambre.

Une fois sur qu'il n'est plus là. Je me retourne et prend les médicaments accompagnés du verre d'eau.  Le reste de la soirée je discute avec Arthur par sms et répond à tous mes amis qui s'inquiète de ma santé.

Sur la fin de soirée, j'éteints les lumières et pose mon téléphone sur la table de nuit.

Je suis pratiquement totalement endormi quand une personne entre dans ma chambre et s'installe à mes côté.

-J'espère qu'un jour tu auras la force de me pardonner, dit la voix de mon père en m'embrassant le haut de mon crâne

Il dit ces mots en pensant que je suis endormie. Ce qui est pratiquement le cas car après cette phrase le sommeil m'emporte totalement.

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