Chapitre 17

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PDV Sans

Dès que j'ai vus Frisk dans sa nouvelle robe, j'ai senti mon problème du bas s'activer et je baverais presque. Ben quoi?! Elle a une robe du même bleu que ma veste, courte, moulant TRÈS bien ses formes et le décolleté en V termine en dessous de la poitrine! En plus, ses cheveux sont attaché en tresse rapide sur le côté, mais ça lui laisse son côté sauvage qui me donne encore plus envie en ce moment...

Frisk : *gêné* et puis? Je suis ridicule, hein?

Gaster : *tout heureux, prends Frisk dans ses bras* Ho non! Tu es magnifique! Dis-lui, Sans!

Moi : *bleuit plus qu'il ne les possible* heu... t'es... heum... *ne réfléchis plus et dit ce qui me passe par le tête* Sexy...

Frisk : *rougis* heum.. merci..

Finalement papa la lâche et Frisk s'approche de nous, les joues plus rouge que le foulard de Paps et elle discute avec nous en se collant à moi. Mais qu'est-ce qu'il lui prend? Je vais craquer, si elle continue, merde! Au bout d'un moment, elle dépose sa main sur ma cuisse osseuse par accident, mais je craque et l'embrasse en la téléportant dans ma chambre.

OK!!! MES PETITS PAPYRUS SENSIBLE, ON SAUTE CETTE PARTIE, VOICI UN AUTRE LEMON!!!!!!!!!!!!!!!

Je prends la peine de lui enlever sa robe et ses bijoux avec douceurs, pendant que Frisk essaie de se couvrir en rougissant. Je sens mon sourire carnassier prendre sa place et je mords l'épaules droite, en décalant un petit peu de ma dernière morsure. L'humaine gémis de douleurs puis frissonne quand je lèche le sang. Je sens soudainement ses mains m'enlever ma veste, puis passer sous mon chandail, me caressant les os qui se trouvaient à sa portée de main. Pendant ce temps là, je lui caresse les cuisse, puis le côtes et je fini avec la poitrine où j'utilise ma langue, ce qui la fait gémir doucement. Ho que j'aime entendre sa voix quand elle gémit! J'aperçois le pendentif de Frisk se défaire et mon âme sortir pour se coller à celle de Frisk, nous donnant encore plus chaud. Plus de retour en arrière possible, je l'ai trop allumé. Ce n'est pas comme si je voulais m'arrêter là... Je m'amuse à la caresser sans pour autant toucher la partie chaude de son corps, ce qui la fait gémir de plaisir et d'impatience...

Frisk : *sensuelle* Plus... Sans, arrête de jouer et vas-y...

Moi : *amusé* Tu ne m'a pas encore totalement déshabillé, tu sais?

Dans un grognement que je qualifierais de sauvage, je me fais plaquer sur mon lit et embrasser, pendant que les mains de la dominante vont à mon pantalon pour me l'enlever, puis elle m'enlève mon chandail, malgré qu'elle doit casser le baiser pour ça. Je souris encore perversement et inverse nos position pour lui mordre la côte sans la faire saigner, ce qui la fait gémir.

Frisk : *gémis* Sans... vas-y, b-os-del!

Moi : *pouffe, amusé* sinon quoi?

Frisk : *menace, pleine d'envie* sinon je vais sur le dessus et je t'empêche de bouger!

Moi : *abdique* comprit! *pervers* You will pass a really good time! Si tu... me mets en bouche, sweety...

Je me mets à genoux et Frisk se met à me lécher, ce qui me fait tomber mi-assis, mi-couché sur le lit. Bone sang qu'elle est bonne! Je gémis en fourrant mes doigts dans ses cheveux pendant qu'elle continue de me prendre en bouche. Sur le point de venir, je l'arrête et lui dit de se retirer, entre deux halètement. Dès que j'enlève ma main de sa tresse a moitié défait, sweety recule la tête et je la pousse contre le lit pour l'embrasser et la pénétrer. Elle laisse un cris de plaisir s'échapper, pendant que je donne de doux coups la faisant gémir mon nom.

La solitude sauveraOù les histoires vivent. Découvrez maintenant