chapitre 29

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Cam : Alya...

Moi : Laisse-moi tranquille.

Cam : Très bien.

Je soupire et retourne en cours. Histoire... Génial *ironie*. Je soupire encore une fois et entre dans la classe pour aller m'assoir à la dernière table au font de la classe pour être près de la vitre. Je pose mon sac sur la table et pose ma tête en croisant mes bras pour commencer à dormir, lorsque j'entends la chaise à côté de moi être tirer. Je fronce des sourcils en sachant que personne ne vient jamais à côté de moi et tourne la tête.

-Mais qu'est-ce que tu fais ? Vas-t-en ! marmonnai-je en le regardant.

-J'ai dit non, Alya, rétorque-t-il en plantant ses yeux brun dans les miens. Arrête de fuir, bon sang. Pourquoi tu nous évites ?

Je roule des yeux et repose ma tête sur mon sac en regardant dehors, à l'opposer de sa direction. Je l'entends soupirer bruyamment et le prof commence son cours alors que je reste comme ça.

Je somnole depuis un bon quart d'heure, quand soudain, la longue règle du prof s'abat sur ma table dans un grand claquement. J'entends tout le monde sursauter, sauf moi qui ne bouge pas d'un poil.

-Debout Miller, il n'est pas l'heure de dormir ! s'écrit le prof.

-On s'est tous les deux que l'heure d'histoire est l'heure idéal pour dormir avec votre vie à dormir debout alors continuer sans rechigner puis vous n'aurez pas de cheveux blancs pour m'accuser, rétorquai-je en tournant la tête vers lui.

-Ecoutez-moi, Miller, dit-il en s'appuyant sur ma table, l'air menaçant. Si vous répondez à cette question correctement, je vous laisse tranquille le reste de l'heure. Mais je vous préviens, il y a peu de chance de réussite, vu que vous n'écoutez pas et que c'est de niveau très haut.

-Bah dis toujours, on verra bien, souris-je en coin en le défiant du regard.

-Quel était les conceptions d'Hitler et le Nazisme ? demande-t-il.

-Mais monsieur, on n'a pas vu ça, j'entends dire un élève.

-He bien on va voir si mademoiselle est vraiment maline si elle veut vraiment le jouer ainsi, rétorque-t-il. Vous savez ce qui vous reste à faire, Miller ?

Je reste sans parler, ni bouger et il sourit.

-Bien, ricane-t-il en tournant le dos en retournant vers son bureau.

Je me lève de ma chaise dans un grand fraqua qui le fait se retourner vers moi et je souris.

-Hitler exprimait, autant en public qu'en privé, un profond mépris pour le capitalisme, l'accusant de prendre les Nations en otage au bénéfice des intérêts d'une classe de rentiers « cosmopolites et parasites ». Il s'opposait en paroles à l'économie de marché et à la recherche effrénée du profit, et souhaitait une économie respectueuse de ce qu'il considérait être l'intérêt général. Il n'estimait pas le capitalisme digne de confiance en raison de sa nature égoïste, et lui préférait une économie dirigiste subordonnée aux intérêts du peuple. Hitler affirma en 1934 à un cadre du parti que « le système économique contemporain était la création des Juifs. » Hitler confia un jour à Benito Mussolini que « le capitalisme avait fait son temps ». Hitler estimait également que la grande bourgeoisie d'affaires « ne connaissait rien d'autre que les profits. La Patrie n'est qu'un mot pour eux. ». Hitler considérait Napoléon comme un modèle pour son comportement anti-conservateur, anticapitaliste et anti-bourgeois, déclarai-je. Dès 1922, il définit le « socialisme » comme un dévouement inconditionnel à la Nation allemande, en déclarant : « Celui qui est prêt à faire sienne la cause nationale, dans une mesure telle qu'il ne connaît pas d'idéal plus élevé que la prospérité de la nation ; celui qui a compris que notre grand hymne Deutschland über alles signifie que rien, rien dans le vaste monde ne surpasse à ses yeux cette Allemagne, sa terre et son peuple, son peuple et sa terre, celui-là est un socialiste ». Si sa définition du socialisme n'est pas particulièrement précise, il la veut cependant distincte du marxisme et du bolchevisme.

HIM (Hold Magcon) Où les histoires vivent. Découvrez maintenant