Chapitre 2

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Attrapant sa cravate, Vadim la défit en tirant d’un coup sec là faisant tomber sur son fauteuil avant de s’assoir dans son siège et de se tourner vers la grande fenêtre qui ouvrait une vue sur son immense domaine.

Sourire aux lèvres il de passa une main dans les cheveux avant de ce faire interrompre par les pas félin de sa meilleure amie, Annabelle.

- Annabelle que me vaux l’honneur de ta visite ? Dit il sarcastiquement. Pas pour ressasser le passé je présume.

- Arrête avec ton sarcasme Vadim, on m’a informer que tu était allé la trouver, tu sais que c’est hyper risquer bordel ! A quoi pensé tu ?! Ton père n’aurais ja-

Se levant brutalement de son siège, Vadim lança un regard acerbe à son amie avant de l’attraper par la gorge violemment.

- Je t’interdis de parler d’un mort. Quand a ce que je fais ça ne regarde que moi et seulement moi est-ce que je suis bien clair ? Chuchota t-il près de son oreille.

La relâchant il l’observa reprendre contenance, avant qu’elle n’affiche, un regard hautain.

- Je t’aurais prévenue Vadim, essaye où moins de penser à ta mère. Avant que tu ne me face a nouveau du mal sache que c’est mon père qui m’envoie, il s’inquiète pour Nina.
Ne prononçant aucun autre mot, Vadim la contourna et sortit de son bureau, plongeant la main dans une des poches de sa veste en cuir il sortit une petite boîte en métal et l’ouvrit pour se saisir d’un des cigares a l’intérieur.

Le portant a ses lèvres il l’alluma tout en faisant signe à son chauffeur de démarrer. Aspirant la fumer il grimpa dans la voiture.

- Chez ma mère dit il.

Silencieux le chauffeur obtempéra et démarra. Sur le trajet il repensa à la dernière fois qu’il avait partager avec son père. Celui-ci l’avait défier au billard dans un petit bar à Paris lors d’un voyage avec sa famille au complet, ses grand parents avaient été heureux de le voir même son oncle qui était plutôt réserver en tant normal.

Ils avaient rient, but, jouer, il avait adoré chaque moment. Son père avait même laisser tomber son masque de Roi de la Mafia et avait pu lancer des défis à plusieurs d’entre eux. Son père l’avait saisit par la nuque et lui avait sourit en lui rappelant que la chose la plus importante était l’amour et peu importe comment il arrive.
Puis tout avait déraper…

Secouant la tête, Vadim fronça les sourcils. Il venait d’arriver devant la demeure de sa mère, ses grands parents avaient emménager avec elle pour la surveiller au risque qu’elle veuille… Soupirant il sortit de la voiture et grimpa les immenses marches souriant alors qu’un fugace souvenir de son enfance passa furtivement.

- Vadim ! Mon grand comment vas-tu ? Demanda Clémentine sa tante, celle-ci était devenu une magnifique femme.

Souriant il la prit dans ses bras.
- Mieux que toi Tata, dit il en pointant son ventre rond du doigt.

- Que veux tu cette princesse nous a fait la surprise ! Gloussa t’elle.

- Une vrai chipie avant l’heure Souria t-il.

- Ahaha vue le père qu’elle a ça ne m’étonnerait pas.

- Ce sera ma cousine, elle sera forte !

- Je l’espère.

L’observant caresser son ventre pensivement il vit sa mère passer dans l’encadrement de la cuisine.

- Comment elle va ? Demanda t-il soudainement tendu.

Le visage soudainement triste, Clémentine tourna la tête vers sa mère qui faisait de grand pas dans le salon le regard vide.

- Mal… très mal, Vadim elle a perdu l’amour de sa vie… J’ai l’impression qu’elle est déjà en quelque sorte … avec lui.

- Ne dit pas ça s’il te plaît Tata… Dit il alors que la tristesse s’enroula autour de son cou.

- Vadim, regarde là. Elle ne mange plus, dors très peu. La seule chose qu’elle fait c’est cuisiner, marcher, ou parler à voix basse.

Ne disant plus rien Vadim se tu, avant de se diriger vers sa mère qui aussitôt qu’elle le vit eu les yeux qui brillairent.

- Mon amour, comment vas-tu ? Damas m’a dit que tu avais rencontrer enfin ta belle ? Dit elle avait cette voix si rassurante qui lui connaissait depuis l’enfance.

- Oui… dans un bal costumé, maman comment vas-tu toi ? Tu as encore maigris…
Levant la main il caressa sa joue devenu creuse.
- Ne t’inquiète pas chéri…c’est juste une mauvaise passe.

- Maman ça dure depuis deux ans…

Le visage soudainement briser de sa mère lui coupa le souffle, lui serrant le cœur.
S’avançant elle prit son visage en coupe.

- Mon grand et beau garçon, je suis tellement fière de toi, si fière. Ton père aussi l’est. Si tu savait a quel point tu était l’accompagnement de notre amour.. Une union si parfaite de nous deux…

Passant une main dans ses cheveux, elle lui Souria avant de se reculer en jetant des regards a ses grands parents et son frère et sa meilleure amie.

- Kélio était tout pour moi, et quand tu es né, tu l’es devenue a ton tours. Deux hommes qui faisaient mon univers, je n’avais pas besoin de plus… Mais quand ton père est partit , je suis partit avec lui. Si je suis encore ici c’est pour être sûr que toi la fusion de notre amour soit heureux comme nous l’avons été. Une fois fait je rejoindrai ton père…

- Tu parle de suicide ?! S’étrangla sa grand-mère.

- Maman, essaye de me comprendre…

- Je ne pourrai pas t’en empêcher n’est-ce pas ? Murmura Vadim triste.

S’entend les bras maigre de sa mère l’entourer, il en fit de même.

- Je t’aime tellement Vadim, mon grand garçon… tu as les clefs pour te battre, j’ai accompli ma mission de mère.

Sans plus de paroles, Vadim plongea son visage dans le cou de sa mère, respirant cette odeur si rassurante.

- Je t'aime si fort maman, n'en doute jamais.

- Jamais je n'en douterait mon chéri.

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NOUVEAU POSTE
LE 3 FÉVRIER

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Petit oubli de poste de ma part désolé 😅❄️

Petit annonce brutal dans ce chapitre, surtout pour ceux qui connaissent Kélio 😔

Kidnappée [Tome 1]Où les histoires vivent. Découvrez maintenant