Midoriya Drama

~III~

Je ramasse le journal de ce matin.
Une larme roule sur ma joue.
Depuis ma retraite, c'est une habitude qui avait le dons de me rendre heureux. Pourtant je n'ai jamais été aussi triste qu'en cet instant.

Un torrent de larme traverse mon visage en lisant le gros titre de la gazette.

        «  Deku, le futur héros prometteur dont tout le monde parle c'est suicidé trois jours après la mort de sa propre mère!»

Je repose le magasine sur ma table basse sans lire le contenu. Après tout je connais la sombre histoire de la pauvre famille Midoriya.

L'alliance des vilains a été quasiment anéanti par Izuku lors d'un de ses nombreux stages imposés par UA.

Ce petit qui voulait tant devenir un héros. Dans ses yeux brillaient une telle lueur que je lui ai légué mon pouvoir il y a maintenant trois ans. Trois ans de bonheur avec le fils que je n'ai jamais eu. Il m'a redonné fois en cette société si facilement ébranlable.

Le reste de l'alliance a voulu se venger mais voila ; Izuku ne pouvait plus être dépassé. À seulement dix-sept ans il surpassait même Endeavor. Il n'étais pas atteignable. Il avait atteint un tel niveau de puissance et de technique que même moi avec toute mes capacités d'il y'a dix ans, il m'aurait écrasé. Son avenir était tellement prometteur mais il continuait les efforts pour se perfectionner. Il était bien trop humble pour admettre que cela ne servait plus à rien.

Ils s'en sont donc pris à Inko. Cette pauvre femme.

Izuku a retrouver sa mère décapité dans sa cuisine. Les forces de l'ordre n'ont pas retrouver ni ses doigt ni son œil gauche. L'enquête a prouvé qu'elle a été torturée des heures et des heures.

La suite de l'affaire n'a pas été rendu publique mais Izuku fous de rage et de tristesse parti venger sa mère et tua les membres de l'alliance un par un ce qui lui a pris moins d'une journée. Il s'est aussi introduit dans la prison où étaient retenus les vilains pour leurs faire payés.

*soupire*

Personne ne peux lui en vouloir hein ?
Le pauvre enfant a retrouvé lui même sa mère dans cet état...

Je sors de ma maison construite en bord de mer et contemple l'étendu d'eau face à moi.
Je suis sûr qu'il sont heureux, là où ils sont.

Deux personnes aussi gentilles que les Midoriya l'étaient ne peuvent que rejoindre les anges, n'est ce pas ?