Une sortie qui se fini mal

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Le lendemain Mr Berio nous réveilla tous les quatre. On se prépara, puis on alla déjeuner. Aujourd'hui nous avons plongée. Après notre somptueux déjeuner, nous avons pris le bus, nous devions nous rendre au port pour cette activité.

-J'aimerais voir des requins ! De beau gros requins, avec plein de dents pointues !

-Ha ! Arrête ! S'exclama Maria, en le frappant.

-De beau gros requins ! Hum !

-Alex, arrête ! Tu lui fais peur ! Le grondais-je

-Mais c'est rigolo ! Tu as vu sa tête ?

-Je te dis d'arrêter, tu arrêt ! Et au passage tu t'excuses.

-Bon d'accord ! Désoler, Melle Maria, voulez-vous bien accepter mes plus plainte excuses ?

-Non, tu n'es qu'un idiot ! Tu fais peur aux filles justes pour le plaisir ! Alors, non, non et non ! L'engueulât-elle

-Tu vois ! C'est une tête de mule !

-Vous avez qu'à réglé vos problèmes tout seules ! J'en ai ras la casquette de vous deux ! Ho, voilà que j'ai la migraine !

C'est rigolo, mais il y a des moments où on aimerait avoir la paix !

Arrivé au port on nous donna des combis, des bouteilles d'oxygène, et quelques explications. On passa la matinée en mer. Je vis plein de petits poissons de toutes les couleurs. Pour le repas on regagna la terre ferme, Mr Berio avait préparé un pique-nique.

-Angèle ! Tu pourrais aller chercher les repas, s'il te plaît ?

-On peut l'accompagner ?

-Si vous le voulez. De toute façon elle aura besoin d'aide !

-Merci monsieur !!

Edouard, Maria, et Alex m'aidèrent à prendre les repas.

Il ne restait plus qu'une glacière, quand les portes se refermèrent.

-Mes dames, et messieurs, veillez bien à attacher vos ceintures.

Mais qu'est-ce qui se passer ? Le bus démarra brusquement, on se précipita vers l'avant de bus, mais il accéléra encore plus vite, des ceinture s'attacha à mes poignée, et à mon bassin, quand elles tirèrent d'un coup, et me plaquèrent au sol. Il arriva la même chose aux autres, mais Edouard eu le malheur de se trouver juste devant moi, il se retourna brusquement, et me tomba dessus la tête la première sur ma poitrine, ce qui m'étouffa, il essaya de se débattre, mais nos lien se resserrèrent encore plus, tellement que j'eu le souffle coupée. Ma vue se troubler, ma respiration devenait saccader.

-Prochain arrêt, Chimeria !!

C'est quoi cette folie ? Au secours ! Je ne vois plus que du noir, j'entends plus rien ! Me suis-je évanouie ? Ou... suis-je morte ?!

ChimeriaWhere stories live. Discover now