Un passé bien enfouie

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Des Elfes virent nous accueillir. Ils étaient tous grands avec une armure en or qui leurs allait à merveille, ils pointèrent leurs lance vers nous.

-Nom, prénom, espèces !

-Serpentina, Lucius, sorcier.

-Et eux ?

-Doz, Maria, sorcière, Tiger, Alex, Hybride, Deschênes, Elfe et... Delaflamma, Angèle, espèce inconnue.

-Entrée. On vous emmène devant notre roi.

Arrivée dans la salle du trône, une Elfe d'une grande beauté, qui révélait en elle une grande sagesse, se tenait assis dans le trône.

-Bonsoir, jeunes gens, que voulez-vous ?

-Heu... vous êtes une femme ! Les gardes avaient dit que c'était un roi qui gouvernait ! Dit Alex

-Oui... mon époux est en voyage pour une affaire politique. Alors que voulez-vous ?

-Nous sommes là pour que vous assigniez se jeune homme.

-Il n'a pas été assigniez ?!

-Le problème est qu'il n'est pas de ce monde.

-Quoi ?! Mais ce n'est pas possible !

-Ben, apparemment, si.

-Comment ça se fait ?

-Nous nous sommes fait enlevé, on s'est évanoui et en se réveillant ont été ici !

-Bon, d'accord ! Je m'occuperais de lui. Mais je voudrais parler en priver avec Melle Delaflamma.

-Merci.

Lucius s'inclina, les autres l'imitèrent. Avant même que je me rendis compte ils étaient déjà tous partie. Pourquoi voulait-elle me parler ? Surtout moi ! Je me retournai devant la reine.

-Angèle... c'est bien ainsi que tu t'appelles ?

-Heu...oui ! Et vous ?

-Moi, je suis la reine Rosalie. Mais ce n'est pas pour ça que j'aie voulais te voir. Le fait que l'on ne connait pas ton espèce m'intrigue ! Raconte-moi ton passé !

-Heu...j'aie eu une enfance très difficile, à 6 ans je perds ma mère, je passe d'une petite fille pleine de vie, joyeuse, à une enfant sans rêve, sans joie, très sombre. On me prenait souvent pour une sorcière. En grandissant je devins intelligente, nerveuse, et extrêmement violente, je me souviens encore de ce garçon que j'avais mis dans le plâtre par le seule fait qu'il m'avait insulté. J'aurais dû réagir autrement. Mon père m'as élevé seule, mais avec son travail il n'était jamais, ce qui fit que je devins vite indépendante. Je n'avais aucuns amis. Mais c'est au collège que tous changea, grâce Maria et Alex, ils étaient des ami d'enfance, ils se connaissaient depuis tout petit, ils avaient accepté que je deviens une amie pour eux, ils étaient gentil, il me comprenait, eux, ils devinrent vite une deuxième famille pour moi ! Ce sont de vrais amis ! Dis-je pensivement

-Comment a tu perdue ta mère ?

-Heu...je ne sais pas. On m'a dit que c'était dans un accident de voiture, et que j'y étais, mais je ne m'en souviens de rien à partir de cet évènement.

-C'est bien ce que je pensais. Veux-tu savoir ce qui c'est vraiment passé ?

-Vous le pouvez ?

-Bien sûr ! Allez viens.

Elle m'emmenait dans une pièce cachée, où il y avait un lit de feuille au milieu, et rien d'autres

-Allonge-toi dedans, et surtout calme-toi, apaise-toi.

Mais ce n'aie qu'un lit, de feuille, mais c'est un lit ! Je fis ce qu'elle m'a demandée, et je m'endormie.

Je vis des choses que je n'avais encore pas vues, ou que j'avais déjà vues, mais je ne me souvenais pas de ça. Quand je vis une femme, elle était belle, elle me dit « Mon petit ange, quoi que l'avenir de réserve, soit forte, vas jusqu'au bout des choses, n'aie pas peur, car tu auras toujours quelqu'un pour te soutenir ! » Qu'es qu'elle voulait dire par là ?

Je vis une autre image, cette fois beaucoup plus sombre, la même femme me portais dans ces bras, je regardais en bas, du vide, elle voler, derrière une ville étais en flamme, avec des cris de détresse, elle se posa, il y avait un homme, mon père, elle lui dit « Protéger-la, emmener la loin, loin d'ici » Elle se retourna vers moi « Sache que je t'aime, que ta mère t'aime à en mourir, mais je suis obligée, je ne veux pas qu'il t'arrive quoi que ce soit ! Tu n'es pas en sécurité ici. » « Emma ! Il faut y aller ! » « Oui. Efface lui la mémoire, quand tu seras arrivée. » Elle m'embrassa, elle était en pleure, et elle partit. Cette femme était ma mère, mais pourquoi m'avoir effacé la mémoire ? Je n'y comprenais rien.

Je me réveillai, Rosalie était toujours à mon chevet

-Alors ? Qu'a tu vus ?

-J'aie vue une femme, ma mère, elle voler, elle ressembler à... un ange. Il faut que je la trouve, sauriez-vous où elle est ?

-Non. Celle toi le sait, comment s'appelle-t-elle ?

-Emma. Elle s'appelle Emma.

-Tu a faim ?

-Heu...oui.

-Allez, viens ! En fait j'aurais espérais que tu me parle de cet Edouard !

A cette réflexion je devins cramoisie

ChimeriaTempat cerita menjadi hidup. Temukan sekarang