Chapitre Bonus 1

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« Hey ! Je suis le type qui écrit cette histoire ! J'espère vraiment que nos personnages vous ont fait passé un bon moment ! N'oubliez pas d'exprimer votre retour (si vous en avez envie, bien sûr, je ne vous force pas !) afin que je puisse améliorer le futur de l'histoire ! Je vous propose un petit épisode ''Hors-Série'' afin de faire une petite pause divertissante dans l'histoire. Have fun ! »

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J'étais tranquillement assise dans un des fauteuils de notre bâtiment, je regardais vers l'horizon doux et paisible.

Soudain, j'entendis un bruit sourd, comme un SHTAK, un bruit qui se répétait encore et encore. Je me levai, intriguée, et je me rapprochais lentement de ce bruit étrange.

Le bruit devenait donc de plus en plus fort, et je commençais à entendre des voix, d'abord indistinctement, puis j'arrivais petit à petit à comprendre ce qui était dit :

« Raaah, tu es sûr que tu vas dans le bon sens ? Demanda une voix masculine.

- Mais oui ! S'exclama une deuxième voix masculine. C'est toi qui te débrouilles mal !

- Mais qui c'est qui s'est bloqué tout seul ?! »

L'échange continuait ainsi, et j'arrivai enfin au lieu du drame : je vis Acnos s'acharner pour essayer d'ouvrir une porte, sans succès.

« Euh, dis-je timidement, il se passe quoi ici ? »

Après un sursaut de surprise et gêne, Acnos m'expliqua doucement qu'Aiden était bloqué à l'intérieur de ces toilettes et que malheureusement aucun des deux garçons n'arrivait à ouvrir cette fichue porte.

Je les regardais, en train de rigoler ouvertement, essayer de libérer Aiden de cette prison sanitaire.

Finalement, avec beaucoup de difficultés, ils y arrivèrent.

Mais en défonçant la porte.

Ils avaient littéralement cassé cette pauvre porte innocente en forçant dessus comme des brutes, et Aiden tomba sur Acnos, ce qui fit une réaction en chaîne qui entraîna les deux dans la chute.

Moi, bien sûr, je riais aux larmes en les regardant essayer de se délivrer de cette situation vraiment très cocasse et gênante pour eux, mais drôle pour quiconque regardait.

« Bon, dis-je toujours en rigolant, débrouillez-vous bien vous deux ! »

Je séchai mes larmes de rire et les laissait se débrouiller seuls.

Cela dit, je ne vis pas le petit bisou volontaire et heureux qui se produisit entre les deux.

L'école de l'OlympeWhere stories live. Discover now