Un ange qui n'est pas allé au paradis

1/Le rendez-vous amoureux

Nous sommes encore en vacances d'été. Mike n'a rien de prévue pour aujourd'hui et il m'a proposé de sortir avec lui dans parc pour parler et manger des glaces.

J'ai tout de suite accepté et j'ai mis mon chapeau et ma plus belle robe blanche avant de sortir.

Mike est assis sur la fontaine et il m'attend patiemment une rose à la main.
C'est si mignon😍😍😍

Je m'avance vers la fontaine et il me tend sa rose.
Elle sent si bon💝💝💝

Nous marchons en parlant de nos vies qu'on connaît déjà par cœur.
On mange des glaces assis sur un banc en écoutant le chant des oiseaux.
On rigole sans voir le temps passer.

J'ai passé tout mon temps à le regarder, à le contempler. Il est si beau, si parfait. Je ne le mérite pas et pourtant, il m'aime autant que je l'aime. Beaucoup de filles le connaissent et pourtant c'est moi qu'il a choisis. Il est doux et attentionné avec moi. Il m'aime et il me le fais savoir. C'est l'homme parfait.

Il est déjà tard. Il me raccompagne chez moi et, devant ma porte :

- T'as passer une bonne journée au moins? il me demande. Tu t'es amusée ?

- Oui et merci pour les glaces, je lui répond, elles étaient très bonnes.

- Nan, merci à toi d'avoir accepté de venir, il dit en souriant, grâce à toi, je me suis bien amusé.

Je le regarde sourire, ce sourire si beau qui fait chavirer mon cœur. Il m'aime mais pourquoi? Pourquoi il m'aime? Il y a des milliards de filles sur Terre et il m'a choisis moi. Je n'ai pourtant rien d'exceptionnel.

- Dit Mike.

- Oui.

- Pourquoi moi ? je lui demande.

- Quoi ? il me dit surpris.

- Pourquoi tu m'as choisis moi ? je lui demande. Je n'est rien d'exceptionnel et j'ai même tout les défauts du monde. tu aurais pu choisir n'importe qui mais tu m'as choisis moi alors pourquoi ?

- Mais nan tu es parfaite, arrête de te rabaisser. il me dit se rapprochant un peu plus de moi. Et puis toi tu es intéressée par moi et non se que je peux t'apporter.

C'est vrai que Mike est très riche grâce à son talent.

- Tu te souvient quand on s'est rencontré ? je dis pouffant un rire.

- Ne m'en parle pas je m'en souvient encore, il dit se touchant la joue. Tu n'y était pas aller de main morte.

- C'est vrai que tu avais la joue toute rouge après, je dis en éclatant de rire. Quand je pense qu'avant je te détestais, j'aurai jamais cru qu'on serai ensemble.

- Mais si tu n'était pas venu, on serai pas là aujourd'hui à parler ensemble, il dit un peu plus proche. je ne serai jamais heureux si je ne t'avais pas rencontré. Tu es la seule chose qui me donne la force de me lever le matin, tu es la seule que j'aime. Et je te le redis : je t'aime.

En le voyant si proche, je rougis. J'en devient pivoine. Je suis gênée, si gênée que je n'arrive pas à aligner une phrase. je n'arrive pas à détourner le regard du vert de ses yeux, ce vert si beau qui me réconforte et qui me soulage.

- M-M-Merci...m-moi au-aussi je t-t-t'aime, je dis gênée de la distance qui nous sépare.

- Hey, c'est moi qui te fait rougir comme ça ? il dit taquin en se rapprochant plus se qui me fit rougir d'avantage pour son plus grand plaisir.

- Idiot ! DÉGAGE !!! je dis en le repoussant le plus loin de moi.T'es con! je dis en cachant mon visage pivoine. Je rougis pas !

- Tu sais, mentir c'est mal, il dit en me chuchotant à l'oreille après s'être rapproché une seconde fois de moi.

Je sentis mon visage s'enflammer, devenir tout rouge.

- J'ai dit DÉGAGE !!! je dis le repoussant encore se qui fît rire ce dernier.

- T'es trop mignonne quand tu rougit, il dit posant sa tête dans sa main, quand t'es en colère aussi, enfaite, t'es toujours mignonne, en toute circonstance.

Je lui tourne le dos pour qu'il ne voit plus mon visage complètement rouge.

- B-B-Bonne nuit M-M-Mike, je dits ouvrant la porte de chez moi.

- Bonne nuit Annah, mon amoure.

Je souris avant de lui faire face. Un grand sourire est vissé sur son beau visage. Je lui fait "coucou" avant de refermer la porte.

- Heu, Annah, attend ! il m'arrête dans ma lancée.

- Oui ? je rouvre un peu la porte. Quoi ?

- C'est bientôt ton anniversaire, pas vrai ?

- Oui, le 23 juillet. Pourquoi ? je lui demande.

- Pour rien.

- Pff, je soupire. T'es con. je lui dis en refermant la porte.

- Moi aussi je t'aime, il me dit ironiquement.