Imagine amitié/ tragique Zayn Malik

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-Flash Back-
 
. . . : J'te tuerai ! TU M'ENTENDS ! Tu crèvera comme tu es née !
 
Les médecins te posèrent en arrière et emmenèrent ton père dans une salle . Toi, tu restais là . . . Assise part terre dans cet hôpital . Les infirmière passait sans te regarder, le téléphone du secrétariat sonna, les médecins courrait, il te marchait quelques fois dessus . Il s'excusent brièvement et continuent leurs course sans fin . Tes larmes coulaient au fil du temps . . . La course infini qu'est la vie . . . Ton père venait de partir dans cet hôpital . A cause de toi . C'est bien à cause de toi que tout ça à commencer . Tu t'écroule maintenant, allonger dans ce grand couloir blanc, sur le sol en carrelage froid regardant le plafond rouge sang . Pourquoi ces couleurs ? Puis tout noir . . . Noir . . . Comme le néant . . .
 
-Fin du flash back-
 
. . . : MADEMOISELLE !
 
Tu osa  brièvement la tête, puis regarda la personne qui te parlait . C'était ton horrible et insupportable prof de maths . Tu l'a regarda, avec ton aire d'épuisement, elle te fixait comme tout tes autres camarades de classe . Elle se rapprocha de toi, mis son nez pleins de pustules près de ton oreille avant de te crier :
 
Professeur : AU TABLEAU !
 
Tu sursauta de la puissance de sa voix dans ton oreille . Tu l'a regarda puis te leva . L'horrible dame assit sur ta table pour regarder tes exploits en sa matière . Tu donna un coup de pieds dans la sac d'une fille de ta classe, ce genre de fille qui s'habillent en Guess, Prada et autres marques que son grands papa chérie lui offre . Sur la tableau blanc, un calcule . Le calcule quel jeux d'enfant ! Quelques secondes après tu avais déjà fini ce qu'ils appellent "Un difficile" .
 
Toi : Alors, je peux me rendormir ?
 
La vieille te dévisagea puis se rapprocha de toi . Poussa un gars qui essayait de s'interposé entre toi et elle . Ses yeux gris vert te regardaient de haut en bas . Toi, cette petite élève qui excelle tellement de fois . . .
 
Professeur : Mais bien sur mademoiselle, et dans vos rêves êtes vous en heures de colles ?
Toi : Dans mes rêves, je vous tiens de tabouret pendent que vous ajustez la corde .
Professeur : 4H DE COLLE !
Toi : Aussi j'ai pas fais mes exercices !
Professeur : 12H DE COLLE !
Toi : Mais bien sûr ! Êtes vous vraiment sur que vous êtes professeur ?
 
La vieille n'en revenais pas . Tu lui tenais tête ! Elle qui par habitude faisait peur à tout ses élèves . Tu lui jeta le crayons dans sa robe, pris ton sac et sortit de cette salle .Tu avais besoin d'être seule . Ce rêve, c'était ce qui c'était passé il y a quelques semaines . Ce jours là, tu étais heureuse, heureuse que tout soit fini . Que plus jamais tu souffrirai de lui, plus jamais tu ne le reverrai . Pour toi, tu sais que cet personne qui se disait ton père jouait maintenant sur le banc de touche dans ta vie . Depuis ce moment, tes lèvres n'ont plus la force de porter un sourire de joie comme tu l'avais avant .
 
Tu t'assis dans les escalier, non loin, les agents d'entretiens jouaient au cartes, tu entendais les cours des autres classes . Tes larmes ne coulent pas, non . . . Tu ne pleura plus jamais pour lui . . .
 
. . . : Jolie numéro !
Toi : Zayn, j'ai pas envie d'en parler . . .
Zayn  : Il va bien falloir en parler, tu le sais *ton prénom* . . .
Toi : Tu es mon meilleur ami, tu le sais déjà . . .
Zayn : Et je sais déjà que demain je serai là !
 
Il te tendit la main, comme il l'avait toujours fais . C'était lui, tu le savais c'était lui qui était fais pour être ton meilleur ami ! Depuis que tu l'as rencontré il n'y a pas moins de dix ans . Vous avez les mêmes rêves, les même sourires, les meilleurs problèmes car vous êtres les même tout simplement . . . Tu saisi sa main et sortit de cette cage d'escaliers lugubre . Il poussa la porte de ta cité scolaire et sortit son paquet de cigarettes .
 
Zayn : Tu sais, même si un jours, on est plus ensemble, on sera toujours les même . . .
Toi : Nous plus ensembles ? C'est pour toujours Zayn ! On l'a déjà dit !
Zayn : Ouais ! Demain c'est à quel heure ?
Toi : A 15h . . .
Zayn : Je serai là !
 
Il démarra sa moto et s'en alla en regardant l'éloigné de toi . Tu avais l'imprécision qu'il était obliger d'y aller, de partir, partir loin de toi . Mais qu'il ne le voulait pas . . . Le temps est déjà compté . Tu pris ton sac, sur le trajet du retour tu songeai à demain . Où tu le verra sortir de cet hôpital . . . Il allait recommencer, mais encore plus énerver, encore plus fort, plus dur, plus de cœur . . .  Tu ouvris ta porte, et comme à ton habitude, la maison était vide . Tu jeta ton sac dans ton hall, ouvris le frigo, pris un yaourt et alluma ton ordinateur . Ton fond d'écran ? Zayn quand vous étiez petits et si innocent . . . Maintenant malgré ça, tout à changer . . . Sur ta page d'accueil Internet, un forum sur tes idoles . Le tchat ouvert, des gens malgré le virtuel tu les aimes . Tout ces gens qui sont là pour toi . Tout ces gens que tu aimerai tellement connaitre vraiment . . .  Tout ces gens qui t'ont déjà demander "Ca va ?" tu répondais directement oui, mais au fond, tu savais que c'était mentir .
 
Quelques heures plus tard dans ton lit, tu te remémore le "J'te tuerai ! TU M'ENTENDS ! Tu crèvera comme tu es née ! " . De frisson tes pieds s'engourdissent avant que tu ne sombre dans le sommeille aussi paisible et relaxant que ce que fument tout les gars de ton lycée .
 
Ton réveille sonne . . . Tu avais essayer de dormir quelques heures . Tu te prépara, mis des vêtement neutres pour ne pas avoir de reproches supplémentairement . . . Enfin 13h après tout les courages des filles d'internet, tu pris ton sac et ferma la porte . Durent le trajet tu te rongeais les ongles, de peur de cette personne . . . A l'hôpital rien n'a changer, toujours ce plafond rouge et le sol blanc porcelaine . . .
 
.. : Bâtiment F chambre 212 .
 
Toujours pas de Zayn à l'horizon . . . Tu décida d'y aller toute seule . . . Dans l'ascenseur à côté de toi, un homme tout en noir, avec un chapeau haut de forme et des bottes noir . . . Enfin le septième étage . . . Devant la chambre 212 tu marques un temps d'arrêt . Tu allais tout changer en passant cette porte . Tu appuya sur la poignée, puis aperçu un lit vide . Tu t'étais trompé de chambre ?
 
Quelqu'un te colla au mur violemment, puis te tapa la tête contre celui-ci . Face à ton agresseur tu n'osais pas ouvrir les yeux . . . Puis il te dit de les ouvrir !  Cette voix . . . La voix de ton père . En face de toi, la main sur ton cou et armé d'un couteau . . . Il avait déjà commencer à t'ouvrir le poignet . Ton sang tachait déjà les murs blanc comme neige .
 
Père : Je te l'avais dit ! TU CRÈVERA COMME TU ES NÉE !
 
Il te regarda une dernière fois avant de t'entailler le cou . Tu tomba de faiblesse, avant de fermer les yeux à tout jamais, tu aperçu Zayn poussé ton père contre le mur d'en face et s'assoir à tes côté . Il pleurait . . .
 
Zayn : JE T'EN PRIS ! RESTE AVEC MOI ! S'il te plait *ton prénom* Je t'en pris . . . Je t'aime . . 
 
Tu ferma les yeux, une larme coula sur ta joue, c'était forever pour toi . . . Il l'avait toujours nier lui . . . Le temps n'étais pas compté pour lui . . . Mais pour toi . C'était ton moment, le moment de le laissé battre de ses ailes à lui . . . Le temps de t'en aller . . .
 
Toi : Désoler Zayn . . .

Imagine avec Zayn MalikOù les histoires vivent. Découvrez maintenant