Amoureuse d'un vampire ( Barnabas Collins)

La Mort ?

Je resta dans ses bras pendant un long moment avant de lui dire "J'ai... J'ai chaud", il me porta jusqu'au balcon où juste avant j'étais parti en courant pour m'enfermer dans ma chambre. Il me posa par terre et me regarda dans les yeux "Je veux te protéger ma chérie, je ne t'ai rien dis parce que j'avais peur que tu me prenne pour un monstre, je m'en veux si tu savais". Je lui caressa la joue et lui souris "Ce n'est pas grave, de toute façon c'est vital pour toi". Il sourit et approcha son visage du mien mais avant même qu'il ai pu m'embrasser on entendis une voix qui nous fit sursauter "Barnabas ! Tu as volé mon cœur !". On se retourna brutalement et vis Angélique vêtu d'une magnifique robe noir, sa jambe droite était à moitié devetu. Elle avait les larmes aux yeux en me regardant avec lui, je baissa la tête en me disant que c'était de ma faute. Barnabas la regarda, son regard exprimait de la pitié mais avec Angélique, ça ne marcherait pas, elle n'a pas de cœur. Elle s'approcha de nous deux avec une expression sur son visage qui faisait peur, je trembla en ne sachant pas ce qu'elle allait nous faire. Elle se plaça devant moi, face à Barnabas "Tu es toujours amoureux de moi au très fond de ton cœur inanimé et glacé". Barnabas lui répondit "Jamais je t'ai aimais et jamais je t'aimerais Angélique". Sans avoir voulu faire ça, je recula vers l'intérieur de Collinwood, ça y est ça recommence, comme dans le cauchemars, je ne pouvais pas me contrôler. Angélique bloquait Barnabas, il n'avait pas remarqué que j'étais parti, trop occupé à dire à Angélique qu'elle lui a pourri la vie. Je traversa la demeure et sortit sans que personne ne remarqua. Il faisait froid dehors, il faisait nuit, c'était la pleine lune, du vent soufflait sur mes joues brûlante. Je passa entre les grilles de  l'énorme portail de Collinwood puis traversa la route pour aller dans la forêt. Dans cette forêt, j'entendis le cri des loups venant de je ne sais pas où, j'étais inquiète mais l'esprit qui me contrôlait n'y faisait pas attention. Je n'arrivais à montrer aucun signe de faiblesse, je voulais pleurer par exemple mais c'était impossible. Je voulais regarder derrière moi mais au lieu de ça j'avançais droit devant la tête haute sans savoir où j'allais, où il voulait m'emmener. Je sentis quelque chose de froid frôler ma main, je voulais regarder ce que c'était mais comme d'habitude je resta à avancer comme ça. Cette marche me semblait interminable puis au bout de quelques minutes je vis que je marchais droit vers le vide. Je reconnaissais cette endroit, c'était le cape de la veuve, j'y allais souvent petite pour y faire des promenades et pour contempler ma vue. C'était une très grande falaise de plusieurs dizaine de mètres de haut, si l'on tolbe de là haut, c'est la mort assurait. J'avais tellement peur, elle voulait me jeter du haut d'une falaise pour me détruire... Elle réussirais comme pour Josette.