SHELA- Lui malgré tout.

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As salem aleykom wa rahmet allah wa baraketouh,

- Salem aleykom.

- L'homme : aleykom salem, dites moi tout.

Il était pas seul, y'avait un jeune homme avec lui mais que je n'ai absolument pas calculé jusqu'à que "je passe ma commande" je lève la tête et la SUPRISE Youssef, en chair et en Os devant moi, je m'y attendais tellement pas, c'était un choque...
Mais je ne l'ai pas calculer, j'ai acheté ce que je devais acheté et je suis sortie, je suis partie en direction de ma voiture, soubhanallah comment le monde est petit, vraiment je m'y attendais pas, j'avais oublié qu'il existé ce gars, une fois que j'ai mis les affaires dans le coffre, quelqu'un m'a tapoter sur le dos et je pense que vous l'aviez devinez tout comme moi, c'était Youssef,

Lui : tu dit pas salem ?

- * je ferme le coffre*

- Lui : oh je te parle la non, qu'est ce que tya à faire ta timide ?

- *Je vais vers ma porte, et compte monté jusqu'à qu'il claque la porte*

- Lui : la prochaine fois que je te parle, fait pas ta maligne avec moi, quand moi je parle toi t'écoute et sur tout tu répond.

- * j'ai récupéré mes clés qui étaient par terre et tente encore une fois de monté dans la voiture*

- Lui : * en me tirant de mon avant bras et en serrant *

- Lâche moi, plus jamais ta compris * je pointe mes clés vers lui* plus jamais tu repose tes mains sur moi, je sais pas à quoi tu joue mais joue tout seul, qu'est ce que tu fais encore devant moi, ça t'a pas suffit tout ce que t'a fais ?

- Lui : Ah ouais tu te rebelle maintenant, bien sûr que non sinon je serai pas la devant toi, alors comme ça tu va te marié et tu croyais que j'allais te laissé tranquille et tout.

- Écoute, je m'en fou complètement de ce que tu dit et ce que tu fais, sache que j'ai carrément oublié ce qu'il s'est passer entre nous, la je me marie comme t'a pu le constater et je n'ai pas envie d'avoir des problèmes avec mon mari, je te le demande gentillement éloigne toi de nous.

- Lui : pas moi, mais vas-y si tu le dit.

Sur ceux je suis partie, ça m'avait tellement dégoûté de le revoir, comme on dit on ne hait bien que ce qu'on a trop aimé, ma fois c'est pas faux, juste le voir comme ça devant moi ça ma fais un électrochoc carrément mdr.

Donc après ça je suis rentré chez moi, dans ma maison, Saphir y était il regardé la télé, je suis aller le voir je lui ai montré ce que j'ai acheté, je lui ai fais à manger et je suis descendu chez moi, ma mère avait fait du Metlouh il était encore chaud donc j'en ai profité pour lui faire monté un bout pour qu'il le goûte, arrivé devant la porte j'ai toqué, il a ouvert mais à moitié,

- Lui : bonsoir.

- Saphir c'est chaaaud, pousse toiiiiiiii je me bruuuule.

Il s'est pousser et je suis aller directement dans la cuisine pour le déposé.

- Mon dieu c'était trop chaud.