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chapitre 5 : Le calme après la tempête

Nous revinrent choqués par la battaille qui venait de se dérouler. Dans le camion personne ne parlait, tout le monde repenssaient au horreur vue sur champ de bataille, à tout leur amis mort devant leurs yeux. Car pour la plupart des soldat envoyer ce fut leur premier et dernier combat. Juste le fait d'y penser me déprimais encore plus. Alors je me remis à méditer pour essayer de vidée mon esprit de toute ses penser qui pourait me nuire plus tard. Alex lui avait le regard vide de tout sentiments il ne trensemettait plus aucune émotions, il ne m'a même pas adresser la parole pendant le voyage du retour, alors je le laissa tranquille. Nous fîmes enfin arrivés au camp militaire et nous rendîmes notre rapport de mission. J'alla me coucher sans dire un mot, mais je ne trouvait pas sommeil à cause des événement de la nuit dernière alors je sortit me rafraîchir les idées. J'étais totalement perdue je ne savait pas quoi dire ni faire, je n'arrivais plus à parler à personne alors je parti au stand de tir pour me défouler. Arrivé là bas j'avais déjà à priori été devancer par Alex qui était en train de tiré sur les cible, toujours avec ce regard vide. Alors pour fair avencer la situation je me mit à lui parler:《

- Que fait tu la en pleine nuit?

- je te retourne la question.

- moi je suis venu pour me défouler et oublier.

- tu voit certains sont parti oublié avec l'alcool tandis que nous on se défoule sur les cible d'entraînement. Chaqu'un sa technique.

- moi je pence que ça ne sert à rien de s'apitoyer sur notre sort éternellement. A près tout nous somme en guerre alors des horreurs on risque d'en voir encore et encore. On doit aller de l'avant et continuer à vivre malgré ce conflit.

- tu a raison. Aller viens avec moi il reste encore quelques cible à désinguer.》

Et on fini par être tout les deux devant le stand de tire à tiré sur les cible. Nous somme aller nous coucher plus tard dans la soirée. Le lendemain on fit réveiller de bonne heure, comme tous le jours d'ailleurs. On alla se ranger en colonne comme d'habitude pour le briefing du matin. Aujourd'hui c était spéciale. On vit une fille avec une veste militaire médaillé s'avencer sur l'estrade. Vue son acoutrement ce devait être une gradée, on se mit aussitôt au garde à vous. Elle commença à s'adresser à nous:《repos soldat! Aujourd'hui est un jour spécial car en raison de certainnes circonstances et après la déssision du général, votre esquoide sera rallier à l'esquoide féminine pour une patrouille sur les segondes lignes, et c'est moi le commandant Charlote qui dirigerait cette patrouille sur ce préparer vous bien et pas de relâchement durant la patrouille.》 Dès qu'elle eu fini son discour on entendait des cris de joie venir de notre esquoide. Pour être sérieux moi et Alex étions totalement paumé mais rassurer que se soit uniquement une opération de patrouille, car il nous fallait encore du temp pour digérer notre dernier combat. Le moment fatidique arriva les deux esquoide se mélangèrnent sans problème malgré l'exitation des deux côtés. Moi et Alex totalement indifférent à la situation montons dans un camions au pif et on tomba sur un camion remplie de fille COMME PAR HASARD alors que on voulait juste pas être trop impliquer dans la situation. Je parla avec Alex toute la route et ignora les autre occupant du camion qui parlait aussi entre elles. Arrivé là bas on vit un attroupement féminin, je m'approcha plus près pour comprendre ce qui se passait et la je vit en plein milieu, Adrien le célèbre soldat qui essaillait de les ignorer ce qui est un peut compliquer vu le nombre. D'un coup comme pour sortir de cette situation oppressante il cria:《Alex ! Je voulais justement te parler peut tu m'accorder quelle que minutes 》dit il en s'extraillant de la foule et emportant Alex avec lui ce qui dissuada la foule de le suivre mais à peine il eu le temp de finir sa causette que le commandant débarqua et ordonna le début de l'opération. Tous ce passait bien jusqu'à ce moment on entendit fuselé un objet dans le ciel, c'était un obus. On eu à peine le temp de réagir que on entendit un coup de feu puis une énorme explosion et la ce que l'on vit semblait un miracle. Adrien avait le fusil lever et pointait le centre de l'explosion avec. On vit de la fumée sortir du canon de l'arme et cela voulait tout dire. Il avait tiré sur l'obu en plein vol ce qui est humainement infesable, mais lui il avait réussi et du premier coup en plus. C'était vraiment le meilleur de nos soldat. Le reste de la patrouille c'est bien déroulé et nous rentrîmes tous saint et sauf au camp.